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tre risque que celui de voir le lecteur fermer le
volume
à cette page. (Et certes, le sens inconscient d’un tel geste n’est ri
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5. 99. Il faudrait lire à ce sujet les deux gros
volumes
parus en 1953 de Gottfried Weber, Tristan und die Krise des Hochmitte
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symbolise tout le reste. Au cinquième et dernier
volume
de ce roman que l’on n’ose nommer un roman-fleuve, puisqu’il n’est pa
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lémique : « Quoiqu’il traite de l’amour, ce petit
volume
n’est point un roman, et surtout n’est pas amusant comme un roman. C’
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s poètes français et les troubadours, et de trois
volumes
(anonymes) de Mémoires sur Pétrarque. 161. « On a de Sade : Juliette