1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 tre risque que celui de voir le lecteur fermer le volume à cette page. (Et certes, le sens inconscient d’un tel geste n’est ri
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 5. 99. Il faudrait lire à ce sujet les deux gros volumes parus en 1953 de Gottfried Weber, Tristan und die Krise des Hochmitte
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
3 symbolise tout le reste. Au cinquième et dernier volume de ce roman que l’on n’ose nommer un roman-fleuve, puisqu’il n’est pa
4 lémique : « Quoiqu’il traite de l’amour, ce petit volume n’est point un roman, et surtout n’est pas amusant comme un roman. C’
5 s poètes français et les troubadours, et de trois volumes (anonymes) de Mémoires sur Pétrarque. 161. « On a de Sade : Juliette