1 onzague de Reynold et son monumental ouvrage en 8 volumes sur la Formation de l’Europe. Puis Carlo Curcio et ses deux volumes e

2 mation de l’Europe. Puis Carlo Curcio et ses deux volumes exhaustifs intitulés Europa, Storia di un’idea ; Heinz Gollwitzer et

3 ue ? Là-dessus, des centaines d’essais et de gros volumes . Essayons de simplifier. L’Europe de Charlemagne est un empire sacerd

4 e paraissait à Utrecht une version amplifiée en 2 volumes , auxquels s’en ajoute un troisième en 1717. Enfin, un Abrégé, signé c

5 on Lilienfeld, publie à Leipzig, en 1767, un fort volume intitulé Neues Staats-Gebaüde. Il propose lui aussi la réunion d’un c

6 ome I. Observations générales, p. 935. Le premier volume en anglais parut en Angleterre en 1776, mais l’ouvrage ne fut terminé

7  : il mérite à lui seul un chapitre. Dans les 143 volumes in octavo qui forment l’œuvre de ce « grand Européen », on trouve peu

8 s complète », à l’Europe. Et il exposera dans les volumes qui suivent les raisons pour lesquelles « la race blanche possède, d’

9 219. Cattaneo : Considerazioni in fine del primo volume dell’Archivio triennale. 220. Burckhardt : Historische Fragmente, p

10 e alémanique : Gonzague de Reynold. L’un des huit volumes de son œuvre maîtresse, La Formation de l’Europe, est consacré aux Ge

11 ndt, est-ce que ce sont seulement des rapports de volumes et de couleurs, ou aussi des hommes jetés en pâture à leur faculté di