1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
1 vrage, parce que chacune esquisse le contenu d’un volume de dimensions ordinaires. Le grand nombre des faits et des textes cit
2 exte assez peu convaincant, lorsqu’il s’agit d’un volume aussi dense. Douteux avantage d’ailleurs : on rougirait de le partage
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
3 tre risque que celui de voir le lecteur fermer le volume à cette page. (Et certes, le sens inconscient d’un tel geste n’est ri
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
4 5. 91. Il faudrait lire à ce sujet les deux gros volumes parus en 1953 de Gottfried Weber, Tristan und die Krise des Hochmitte
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
5 symbolise tout le reste. Au cinquième et dernier volume de ce roman que l’on n’ose nommer un roman-fleuve, puisqu’il n’est pa
6 lémique : « Quoiqu’il traite de l’amour, ce petit volume n’est point un roman, et surtout n’est pas amusant comme un roman. C’
7 s poètes français et les troubadours, et de trois volumes (anonymes) de mémoires sur Pétrarque. 150. « On a de Sade : Juliette
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
8 ience passionnée que représentent les quatre gros volumes de l’islam iranien d’Henry Corbin, œuvre aussi admirable par sa maîtr
9 ania, avril 1940), Reto Bezzola, auteur des trois volumes fondamentaux sur Les origines et la formation de la littérature court
10 n avec René Lavaud, une abondante anthologie en 2 volumes , Les Troubadours, 1965 et 1966, textes originaux et traductions, préc
11 rl Barth, Dogmatique de l’Église, Tome I, 2** (4e volume de la trad. franç., p. 108 n.). 252. Première édition chez Albin Mic