1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
1 e, un gros coup de vent : voilà nos compagnons de voyage , le médecin de l’île et trois représentants de commerce, qui se préci
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
2 cond Faust, mais aussi de ces pages du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à Mme de Stein comment les hab
3 aines chez lui. Il habite à une petite journée de voyage de notre île. La leçon pratique de cette première expérience de deux
4 e du petit tracteur qui nous remorquait ? Non, le voyage des contes et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter
5 apparaître sur le quai. Je me réjouis de ce petit voyage . Il me semble que je vais découvrir un pays cent fois traversé que je
6 s membres une nombreuse suite pour leur « dernier voyage  ». L’autre, c’est la Société coopérative de panification, réunissant
7 des partis politiques. Et que dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une résurrection de ce que Vigny pleurait, la poésie
8 l’on a déjà su accomplir au cours d’un précédent voyage , et qui rassure… J’ai pensé plus d’une fois qu’il pourrait être utile
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 quais de Costanza ; de stations vides au cours de voyages fatigants. L’idée de continuer au hasard vers le sud, de « tout lâche
10 ement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du voyage , le temps perdu et les fatigues, bien qu’elles paraissent souvent vai