1
e, un gros coup de vent : voilà nos compagnons de
voyage
, le médecin de l’île et trois représentants de commerce, qui se préci
2
cond Faust, mais aussi de ces pages du Journal de
voyage
en Italie où, par exemple, il rapporte à Mme de Stein comment les hab
3
aines chez lui. Il habite à une petite journée de
voyage
de notre île. La leçon pratique de cette première expérience de deux
4
e du petit tracteur qui nous remorquait ? Non, le
voyage
des contes et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter
5
apparaître sur le quai. Je me réjouis de ce petit
voyage
. Il me semble que je vais découvrir un pays cent fois traversé que je
6
s membres une nombreuse suite pour leur « dernier
voyage
». L’autre, c’est la Société coopérative de panification, réunissant
7
des partis politiques. Et que dire maintenant du
voyage
lui-même ? C’est une résurrection de ce que Vigny pleurait, la poésie
8
l’on a déjà su accomplir au cours d’un précédent
voyage
, et qui rassure… J’ai pensé plus d’une fois qu’il pourrait être utile
9
quais de Costanza ; de stations vides au cours de
voyages
fatigants. L’idée de continuer au hasard vers le sud, de « tout lâche
10
ement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du
voyage
, le temps perdu et les fatigues, bien qu’elles paraissent souvent vai