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ées notamment par Pausanias — se confond avec les
voyages
historiques des Phéniciens. On voit aussi combien, dès ces débuts fab
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schyle fait dire à l’un de ses héros décrivant un
voyage
qui implique la traversée du Bosphore : Dès lors, laissant le sol d’
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ait de cette paix est l’aisance et la sécurité du
voyage
et du trafic, bonheur qui n’a jamais été apprécié depuis que l’Empire
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qui inspira son projet au bon abbé. Au cours d’un
voyage
en Normandie, durant l’hiver 1706-1707, sa voiture ayant versé dans u
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s, n’auraient jamais pu trouver au cours de leurs
voyages
, un seul membre de cette société. Cependant, il est établi que Leibni
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s appris la langue latine, nous nous préparons au
voyage
; la première chose dont on se fournit, c’est d’un Itinéraire, qui en
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talogues des musées, ou les histoires d’amour, le
Voyage
triomphait. … Il existe un titre charmant, qu’on ne peut lire sans a
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rs, mais publient la plus copieuse littérature de
voyages
qui soit au monde ; à mesure que Colbert propose à l’activité des Fra
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(mot créé par Thomas More au xvie siècle) et les
voyages
imaginaires : Savinien Cyrano de Bergerac et ses Estats et empires de
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t empires de la Lune puis du Soleil, Swift et ses
Voyages
de Gulliver, Giovanni Paolo Marana et son Espoir du Grand Seigneur, M
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us les peuples du monde le François est celui qui
voyage
le plus, mais plein de ses usages, il confond tout ce qui n’y ressemb
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i qui en voit le plus connoît le moins. L’Anglois
voyage
aussi, mais d’une autre manière ; il faut que ces deux Peuples soient
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s soient contraires en tout. La Noblesse Angloise
voyage
, la Noblesse Françoise ne voyage point : le Peuple François voyage, l
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oblesse Angloise voyage, la Noblesse Françoise ne
voyage
point : le Peuple François voyage, le Peuple Anglois ne voyage point.
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se Françoise ne voyage point : le Peuple François
voyage
, le Peuple Anglois ne voyage point. Cette différence me paraît honora
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: le Peuple François voyage, le Peuple Anglois ne
voyage
point. Cette différence me paraît honorable au dernier. Les François
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presque toujours quelque vue d’intérêt dans leurs
voyages
: mais les Anglois ne vont point chercher fortune chez les autres Nat
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ntre-temps je me suis passé le temps en lisant le
voyage
de Niebuhr et Volney en Syrie et en Égypte et je ne saurais qu’en rec
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rels et le tourisme. Seule exception prévue : les
voyages
des savants. Et ce trait rappelle avec une étrange précision les prat
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tions de transporter en tout pays leur ennui. Les
voyages
des premiers s’effectuent pour le plus grand bien de l’humanité et de
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oriental, ou la jeune Amérique dans Les Années de
voyage
de Wilhelm Meister, ses prises de position peuvent paraître ambiguës.
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i doivent diriger les familles humaines dans leur
voyage
vers ce but, sont identiques, mille voies cependant sont ouvertes au
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ing (1880-1946), rendu célèbre par son Journal de
voyage
d’un Philosophe (qui décrit l’Inde, entre autres, à coup d’intuitions
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qui les unit sur ce qui les sépare. Or, si notre
voyage
spirituel à travers l’Europe nous a appris quelque chose, c’est bien