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résent. Ainsi Goethe écrivait dans son journal de
voyage
: Un jour, les Suisses se délivrèrent d’un tyran. Ils purent se croi
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office postal et décidai de faire le reste de mon
voyage
à pied… Tout le pays reposait dans une vapeur bleue, où resplendissai
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ependant qu’aux petits déplacements, qui sont des
voyages
concentrés et plus émouvants que les vrais, parce que entre le départ
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il n’y a pas de place en Suisse pour un véritable
voyage
, on s’en tire en coupant le milieu, ce remplissage de kilomètres, ces
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état de santé ne lui permit pas d’entreprendre le
voyage
— il se trouvait en clinique dans le Tessin. Et c’est ainsi qu’il gar