1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mineure. Les voyages et les rencontres des druides « cimentaient l’union des peuples celti
2 ouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, ou Oisin, «
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
3 rendre figure d’arguments, à cet endroit de notre voyage , du seul fait de leur trop parfaite convenance à nos définitions du m
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
4 galanteries picturales. De nos jours enfin, le «  voyage de noces », pour autant qu’il subsiste et garde une signification, re
4 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
5 e d’exister, une certaine aventure de l’âme, un «  voyage  », diraient-ils, où nous entraîne le vin herbé du Roman primitif, par
6 n’est pas elle qu’il a aimée. On sait le rôle du voyage sur mer dans les légendes celtiques. Il y en a quatre dans le roman d
7 finit en Irlande, où Iseut le guérit. Le deuxième voyage , en quête de la fiancée de Marc, répète à peu près le premier. Le tro
8 e plus à ce que les jeunes Américains baptisent «  voyage  » : c’est le retour avec Iseut, la scène du philtre, « la poison » bu
9 ulté très curieuse se manifeste à l’examen de ces voyages . Lors des trois blessures liées à des navigations solitaires, Iseut i
10 vent ensemble le même philtre, font-ils le même «  voyage  », ou est-ce une illusion ? C’en est une certainement aux yeux de cel