1 Vous me direz qui je suis, mes amis ; quel est le vrai  ? — Ils me proposent vingt visages que je puis à peine reconnaître. R

2 n système, hors la religion. Un système n’est pas vrai , il est utile. C’est pourquoi je ne puis comprendre les excommunicati

3 ats qui griffent et lèchent alternativement, « en vraies bêtes de désir ». Une intelligence si profonde de la vie animale supp

4 Bestiaires font pardonner bien d’autres pages de vrais délires taurologiques. Quand le lyrisme de Montherlant décolle de la

5 tempérament très rassurant. C’était, je crois, le vrai Humbert qui commençait à s’affirmer. Puis il y eut une période interm

6 rs. 8. Voir sur cet artiste neuchâtelois, de son vrai nom Ch. E. Jeanneret, un article paru dans le numéro de février de ce

7 u’on pense généralement le contraire. Il est très vrai que les notions réaliste et idéaliste du monde ne sont séparées que p

8 ils ne sont que reflets, épisodes, symboles : le vrai drame de son destin est ailleurs. Il se met à m’expliquer des signes,

9 et soi-même » (décembre 1928)m « Remonte aux vrais regards ! Tire-toi de tes ombres… » Paul Valéry. Stéphane est maniaq

10 uer pour rien.) Cette histoire idiote, d’ailleurs vraie , se borne à décrire l’aspect psychologique d’une aventure qui en a bi

11 e, par quel hasard, donne l’accord qui m’ouvre un vrai silence : déjà je leur échappe — je t’échappe ô douceur de vivre ! To

12 sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)q I Vos fantômes ne sont pas les miens,

13 sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »], Raison d’être, Paris, n° 7, juillet 1930, p. 7-8. Les ré