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rochains. Cette attitude « personnaliste » est la
vraie
tradition de l’Europe, la voie royale de sa culture, le foyer de son
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e comme la gardienne du secret de l’Europe, de sa
vraie
force et des valeurs qui l’ont créée. Gardienne des cols pour les nat
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rois au début de cet article, bien minimes il est
vrai
, mais assez nets et assez neufs. Il y en a d’autres, très typiques, d
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a une enfance dans l’air… ⁂ N’est-ce pas cela, la
vraie
gloire d’un poète : que son souvenir se confonde — inoubliable, insép
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orez pas que mon souci tout helvétique de dire le
vrai
, fût-il désobligeant, m’amenait à reconnaître que ces relations ne so
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es, mes cadets ou mes contemporains, vous êtes le
vrai
public d’un livre comme le Journal , celui qu’il cherche et qu’il es
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ra balayé. Il ne vous restera que la foi. Mais la
vraie
lutte commence là. » Et je crois toujours que le problème est là : c’
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on la gloire du Dieu vivant. C’est pourquoi notre
vraie
défense contre lui ne peut être que notre foi. La contre-épreuve de c
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l doit connaître un but de vie meilleur. S’il est
vrai
que d’abord, il s’agit de partir de l’homme réel (ce que ne peuvent f
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faire les meneurs de masses), il n’est pas moins
vrai
qu’en fin de compte, l’activité de directeur de conscience se trouve
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n, ou de la Liberté, ou de l’Humanité, etc. Aussi
vrai
que le baron de Crac ne pouvait pas sortir du puits en se tirant par
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rtir du puits en se tirant par les cheveux, aussi
vrai
nous est-il impossible de nous hausser jusqu’à l’universel avec l’aid
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ls les chrétiens confessants peuvent connaître la
vraie
nature et la signification, et cela dans la seule mesure où ils s’eff
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sciente de réalités plus vivantes, de drames plus
vrais
que ceux dont nous faisions la montre… Mais ceci c’est une autre hist
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lu dans un plan strictement ecclésiastique, c’est
vrai
. Mais il était inévitable et normal que ce type de relations influenç
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e manière de créer des personnalités s’appelle au
vrai
: caporalisation. La personne ainsi comprise n’est plus rien qu’une p
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, mais par le traité de Versailles. Et c’est bien
vrai
. Elle dit aussi que d’autres États, et en particulier les petits État
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dance de toute influence étrangère, sont dans les
vrais
intérêts de la politique de l’Europe entière. » Et j’en arrive, ici,
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, mais dans cette clarté rigoureuse que répand la
vraie
charité ; c’est toute l’éthique fédéraliste. Faut-il me résumer ? Ce
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nérosité. Alors nous serons en état de mesurer la
vraie
grandeur des événements actuels, la vraie grandeur du rôle qui peut n
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urer la vraie grandeur des événements actuels, la
vraie
grandeur du rôle qui peut nous y attendre. Et parce que nous serons p
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surées. Elles doivent au contraire nous donner la
vraie
mesure de nos soucis, de nos misérables cafards, de nos craintes déri
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cé à me chercher, à me vérifier curieusement. Mon
vrai
désir serait de me donner, à peu près dans le sens où l’on dirait : q
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ire. Il me semble aujourd’hui qu’au contraire, la
vraie
conscience de la vie ne s’est maintenue que chez les écrivains savant
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celles de communauté. Car s’il n’est de communion
vraie
que dans la Vérité elle-même, cette Vérité devient ésotérique aux yeu
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. Tous les deux ont de bonnes raisons. Car il est
vrai
que la guerre n’est pas fatale ; vrai tout autant qu’elle est probabl
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Car il est vrai que la guerre n’est pas fatale ;
vrai
tout autant qu’elle est probable. Suis-je aux prises avec deux tempér
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à toute autre époque. Imaginer là-dessus un livre
vrai
, un livre où tout serait avoué, horreur et charme, à travers la visio
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n la verrait dans la paix, là où chacun livre son
vrai
combat. 21 mai 1939 Promenade au Bois avec V. O. que j’ai été prendre
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fois le sublime et le pire. « Trop beau pour être
vrai
», c’était un de nos proverbes. Et lorsqu’on nous avertissait de cert
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nous répondions : « C’est trop affreux pour être
vrai
. » À certain document que je ne puis nommer, d’une atterrante précisi
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nos préjugés, il nous oblige à mesurer nos forces
vraies
, il nous permet de nous unir mieux que jamais pour la défense et la r
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pas seulement sa matérialité (le territoire). Le
vrai
patriote suisse ne dit pas : « Plutôt renoncer à ma liberté d’opinion
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re la vision de l’Ecclésiaste, ce grand maître du
vrai
réalisme. « Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu
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essité d’agir sur la cité. Si la cité n’a plus de
vraies
mesures, c’est l’Église qui doit les refaire. Qu’elle s’y refuse, il
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r la mention du « Schwyzerdegen », qui demeure sa
vraie
signature. ai. « L’homme au poignard enguirlandé », Vingt-huit écriv