1 s de la confession protestante. ⁂ Mais s’il reste vrai que la Suisse n’est pas une nation comme les autres, n’ayant été pend

2 cœur. Tout ce qu’on lui demande, c’est d’être un vrai poumon, d’être aussi poumon que possible, et, dans cette mesure même,

3 s qu’elle administre. Elle exige beaucoup plus de vrai sens politique. Finalement, si l’on y réfléchit, on s’aperçoit que la

4 sociales, c’est leur esprit d’abord qui en est le vrai responsable. Le mécanisme quel qu’il soit — de la machine-outil à l’É

5 e ce que peut être l’Europe fédérée. ⁂ VII. La vraie « relance » de l’Europe Pour tracer cette esquisse d’une union féd

6 elle divorce, il l’épouse ! Avec elle, ce sera la vraie vie, l’épanouissement de ce Tristan qu’il porte en soi. Mais aussitôt

7 crise du mariage se dénouera d’elle-même ? Il est vrai que la passion est l’ennemie jurée du mariage mais c’est elle aussi q

8 cultures nationales voisines. Pour que cela soit vrai , il faudrait tout d’abord que le concept de « culture nationale » cor

9 qui n’est, soit dit en passant, qu’une parodie du vrai fédéralisme — c’est tout cela qui mérite aujourd’hui d’inquiéter les

10 Français cultivé et qui se demande quel est le «  vrai  » sens du mot fédéralisme, recourt à son Littré, où il trouve ceci :

11 cultures nationales voisines. Pour que cela soit vrai , il faudrait tout d’abord que le concept de « culture nationale » cor

12 es implique et permet de les composer. Et il est vrai que ce régime peut conduire moralement à la médiocrité dorée, politiq

13 x, faite à Bonn le 18 juillet 1961, parle, il est vrai , de « donner forme à la volonté d’union politique déjà implicite dans

14 d’un autre grand poète, Saint-John Perse, de son vrai nom Alexis Léger, qui rédige le Mémorandum sur l’organisation d’un ré

15 e. À quoi l’on pourrait ajouter : 1° que s’il est vrai que notre neutralité a permis les interventions de la Croix-Rouge lor

16 exportations, deux tiers vont à l’Europe. Il est vrai que notre balance commerciale reste déficitaire avec l’Europe (de 447

17 est le plus sûr moyen de les perdre. Il n’est pas vrai , d’ailleurs, que l’union de l’Europe menace d’effacer nos « caractéri

18 t des lettres, dans nos cantons, est donc liée au vrai fédéralisme, qui n’est pas l’esprit de clocher, ni l’abandon à l’unif

19 mparer notre première étape à la Jeunesse. Car la vraie force d’un homme jeune ne vient-elle pas de ce qu’il imagine un très

20 s de s’armer, mais non pas de désarmer. Et il est vrai que les armes nouvelles inventées par les techniciens n’ont guère fai

21 ortement ni en moi, ni autour de moi, tant il est vrai que l’idée d’un malheur universel et définitif agit peu sur l’imagina

22 ons que la guerre bloquée, ce n’est pas encore la vraie paix. Celle-ci ne peut naître qu’à la faveur d’un équilibre qui ne so

23 t, d’air pollué et de vacarme révoltant ? C’était vrai au xixe siècle et ce l’est encore en partie pour le prolétariat des

24 des villes industrielles. C’est de moins en moins vrai dans une époque où Paris, grâce aux trains, à l’auto, à l’avion, se v

25 omme est devenu l’esclave de sa voiture, et c’est vrai dans ce sens que l’homme moyen croit qu’il ne pourrait plus se passer

26 de nos passions et de nos rêves, le moyen de nos vraies fins, que nous voulions ignorer, ou bien que nous avions perdu de vue

27 ’une manière tout à fait concrète la question des vraies fins de notre vie et de la vraie nature de l’homme. Ne serait-ce pas

28 la question des vraies fins de notre vie et de la vraie nature de l’homme. Ne serait-ce pas là, peut-être, son plus grand mir

29 Ces problèmes se révèlent au contraire dans leurs vraies dimensions et leur urgence — et alors nul besoin d’insister sur la né

30 fonder sur ce qui est destiné à devenir demain la vraie réalité de notre société, et je vais désigner par là une unité d’un t

31 érialisme ne fait que révéler en les exagérant la vraie nature et les vraies ambitions. Nous n’en sommes encore qu’à l’aube d

32 e révéler en les exagérant la vraie nature et les vraies ambitions. Nous n’en sommes encore qu’à l’aube de la formation des ré

33 me nationale en général. Croyance réfutée, il est vrai , par un simple coup d’œil sur l’Histoire, lequel fait voir premièreme

34 ons sont « encore » les seules réalités. Et c’est vrai , elles existent « encore » — mais si mal ! Trop petites pour assurer

35 seul à ressentir, non sans colère ni douleur, la vraie portée. Lorsque Duncan Sandys et Retinger, organisateurs du congrès,

36 rouve aujourd’hui plus vive que jamais ; s’il est vrai qu’on ne peut bâtir sur de l’ancien (les États-nations), mais seuleme

37 bre plaisanterie sur les amiraux suisses, c’était vrai . Le créateur de la flotte russe et son premier grand amiral était un

38 establement dans le sens de la nation.25 Il est vrai que le même André Malraux quelques jours plus tard, interrogé par des

39 nt-trente petits États confrontés aux trois seuls vrais grands. Ils sont trop petits « à l’échelle des moyens techniques mode

40 de la cité ; donc trop grands pour être encore de vraies communautés humaines, et cela, c’est la plus grave maladie qui puisse

41 fonder sur ce qui est destiné à devenir demain la vraie réalité de notre société, et je vais désigner par là une unité d’un t

42 de même la région va s’opposer aux faux comme aux vrais empires centralistes et monopolisateurs qui prétendent aujourd’hui se

43 istiques, sociaux ; le seul en somme qui soit une vraie fédération et qui ait une expérience séculaire de l’existence fédéral

44 ation devrait faire l’objet d’un débat public. La vraie démocratie, ce serait que les gens puissent discuter des projets car

45 session de repêchage, c’est la saison des amours vraies , solides, bien bâties. On a passé l’âge de Roméo et Juliette, mais on

46 e ces couples dont on dit simplement : « C’est un vrai couple. » Le remariage est non seulement un problème d’actualité mai

47 un mariage où il n’y aurait que de l’amour. Le vrai amour c’est le contraire de la passion Il faut donc « quelque chos

48 — et l’on s’en aperçoit très vite — alors que le vrai amour est agent de personnalisation par excellence : ce qu’il a su vo

49 il y a quand même des différences énormes avec un vrai mariage : il manque les enfants et il manque tout le côté social — êt

50 ôté social — être reconnu par les autres comme un vrai couple, ce qui est un ciment — et surtout l’idée que ça doit durer to

51 plus éloigné dans la « longue marche » qu’est le vrai mariage. Pour avoir toute sa valeur il faut aussi que le pacte soit s

52 Il vaudrait beaucoup mieux leur apprendre que la vraie vie, c’est la vie quotidienne et qu’elle n’a rien de terne et d’ennuy

53 n rôle international ; et trop grand parce que la vraie cité où l’homme peut participer à la vie publique, c’est quelque chos

54 . Un certain état d’âme, d’alerte au monde est le vrai but du dé-placement : il renouvelle la syntaxe émotive de mon dialogu

55 nisé que par des traîtres à la République… Il est vrai que mon Littré date de 1865 : « fédéralisme » y est encore qualifié d

56 lui soit pour ainsi dire congénital. Or s’il est vrai que l’union de l’Europe est l’entreprise capitale de ce siècle et s’i

57 enseignons un seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme… fils unique en deux natures, sans confusion [ni]

58 seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme… fils unique en deux natures, sans confusion [ni] séparation. L

59 x théories de de Broglie sur la lumière, faite de vrais corpuscules, mais aussi de vraies ondes…). ⁂ Notre modèle de pensée f

60 umière, faite de vrais corpuscules, mais aussi de vraies ondes…). ⁂ Notre modèle de pensée fédéraliste ainsi posé à la clé de

61 qui sait la comprendre. (Pour les autres, il est vrai , cela change tout : Marcuse, ni lu ni connu mais « actuel » selon les

62 meurt enfin le 30 octobre 1910 — tout près de la vraie fin de ce xixe siècle qui a commencé au soir de Waterloo et qui va s

63 alors qu’il écrivait le début d’Un Souvenir. Son vrai discours contre la guerre et le militarisme qui la prépare, c’est dan

64 r la peste, mais de dénoncer le mal, d’en dire la vraie nature, puis d’en déceler les causes permanentes : L’essence de la g

65 nom de politique coloniale ». Or ce n’est pas la vraie civilisation qu’on apporte aux peuples asservis : c’est l’opium, le r

66 et les éditeurs. Quant à leurs relations avec le vrai public, les chiffres que je viens de citer permettent de les mesurer