1
t à son Littré, dépositaire depuis un siècle du «
vrai
» sens des mots français, et il trouve ceci : Fédéralisme. s.m. Néolo
2
intérêts de son État qui demeure inacceptable aux
vrais
croyants de la religion nationaliste. Quant à Nelson Rockefeller, il
3
de nos fausses souverainetés, pour préserver nos
vraies
diversités » (mai-juin 1970)f Vous êtes l’auteur d’une phrase fame
4
unie dont je vous parlais tout à l’heure. Il est
vrai
que le projet d’union de l’Europe a généralement passé pour chimériqu
5
de nos fausses souverainetés, pour préserver nos
vraies
diversités », Feuille centrale de Zofingue, Zofingue, n° 5-6, mai-jui
6
définition de la Personne de Jésus-Christ comme «
vrai
Dieu et vrai homme » à la fois selon les formules conciliaires de Nic
7
la Personne de Jésus-Christ comme « vrai Dieu et
vrai
homme » à la fois selon les formules conciliaires de Nicée et de Chal
8
de nos fausses souverainetés, pour préserver nos
vraies
diversités — créer un pouvoir fédéral pour la sauvegarde de nos auton
9
ommunal auquel on doit revenir parce que c’est la
vraie
source du fédéralisme. Et de là il faut dépasser les frontières de la
10
ats centralisés. — et parce qu’il faut REFAIRE DE
VRAIES
COMMUNAUTÉS, si l'on veut prévenir les désastres moraux , écologiques
11
offrira seule les structures nécessaires à toute
vraie
participation. Mais la région doit naître comme poussent les blés, la
12
a manière et selon ses goûts, qui définissent ses
vrais
besoins. La région ne doit pas être imaginée comme un mini État-natio
13
ïncide aussi avec la création de la poésie, de la
vraie
littérature en Europe, et il y a donc un lien tout à fait évident ent
14
te question soit un “oui franc et massif”. À dire
vrai
, la seule originalité de la votation de ce week-end réside dans le fa
15
oit dévaloriser les cadres nationaux, libérant le
vrai
sentiment patriotique… Tant que patrie et nation seront confondues, l
16
que nous avions posés dans les années 1930. C’est
vrai
, une partie de la jeunesse se pose aujourd’hui la même question : sur
17
t en est venu, ou presque », disait Valéry. C’est
vrai
: toutes les sciences modernes, les techniques, la plupart des formes
18
’il n’y avait pas lieu d’en disputer. Il est bien
vrai
qu’aucune raison logique ou sémantique ne saurait justifier la distin
19
la chose, — quelles que soient, par ailleurs, les
vraies
dispositions et intentions des hommes d’État. Ceci dit, les fédéralis
20
n, l’écologie nous oblige à poser la question des
vraies
fins de la cité et de ses priorités : le profit à tout prix, ou un ce
21
cience pour les culturels : voilà qui définit une
vraie
révolution au troisième tiers du xxe siècle. Elle n’est pas idéologi
22
ontières d’un même État. D’ailleurs, il n’est pas
vrai
que nos stato-nations modernes correspondent à l’aire de diffusion d’
23
iversités tant vantées, et à juste titre ? Est-il
vrai
, comme le disent trop souvent d’éloquents ministres à Bruxelles ou à
24
u’on peut écrire, non faire, car ou bien on a une
vraie
amicale, mais alors il n’y a pas de misanthropes, ou bien on a de vra
25
ors il n’y a pas de misanthropes, ou bien on a de
vrais
misanthropes, mais alors il n’y a pas d’amicale. L’Europe que nous vo
26
tion. Ce diagnostic est, si possible, encore plus
vrai
aujourd’hui et il nous dicte une ligne de conduite et d’action. Je sa
27
uniforme (matériel ou moral), nous deviendrons de
vrais
Européens. Les dimensions de l’héritage La bourgeoisie occidenta
28
irs alternés. Les meilleurs sont en quête de leur
vrai
nom ; la masse est fuite devant la personne responsable ; et tous, ta
29
mettre le meilleur, l’union librement décidée des
vraies
« nations », qui ne peut se faire que dans le cadre européen. Car des
30
peut se faire que dans le cadre européen. Car des
vraies
« nations » ou régions ne seront vraiment elles-mêmes que toutes ense
31
urg, de Luxembourg qui feront l’Europe — s’il est
vrai
qu’elles y contribuent avec une indéniable compétence dans leurs doma
32
, très abusive alors, est en bon train de devenir
vraie
: sur le même territoire six fois plus d’habitants et dix fois plus d
33
seil sur la place. Cette place, qui définit toute
vraie
commune, ou communauté d’hommes libres, a repris dans tous nos pays e
34
rdonner aux buts derniers de l’homme. Or s’il est
vrai
que ces buts — universels et personnels — transcendent toute communau
35
à la participation civique et politique, s’il est
vrai
que l’information, dont elle fait partie, est une des conditions sine
36
l’homme cherche en vain le refuge paisible ou la
vraie
communauté, et ne trouve d’autre alternance que celle de la promiscui
37
écificité du comportement civique Or, s’il est
vrai
que cet égoïsme, cet incivisme (souvent déguisé en individualisme lib
38
l’inadaptation comme condition dernière de toute
vraie
vie civique et de toute participation authentique.) Au surplus, un je
39
sonne qui est le droit à l’inadaptation. S’il est
vrai
que la participation obligatoire est la négation même du civisme, il
40
seil sur la Place. Cette Place, qui définit toute
vraie
commune, ou communauté d’hommes libres, a repris dans tous nos pays e
41
art, d’énumérer au sujet de Lavaux quelques faits
vrais
, dont la discordance m’inquiète : elle m’empêche de m’abandonner à l’
42
fous associant leur foi poétique aux calculs des
vrais
réalistes — lesquels ne sont nullement ceux qui pensent court et bas
43
ntes. Ces recherches sont métaphoriques, s’il est
vrai
que la métaphore naît du rapprochement de deux phénomènes très éloign
44
ient coïncider territorialement. Il y faudrait un
vrai
miracle, mais ce miracle ne s’est jamais produit. Et il aurait encore
45
réponse dépend de nous, non des astres. S’il est
vrai
, comme je l’ai toujours pensé, que nous n’avons pas à prévoir notre h
46
col du Gothard, à seule fin de sauvegarder leurs
vraies
diversités, leur autonomie judiciaire, leur droit de vivre à leur man
47
ontières d’un même État. D’ailleurs, il n’est pas
vrai
que nos stato-nations modernes correspondent à l’aire de diffusion d’
48
iversités tant vantées, et à juste titre ? Est-il
vrai
, comme le disent trop souvent d’éloquents ministres à Bruxelles ou à
49
er mais non pas faire ; car ou bien l’on fait une
vraie
amicale, mais alors on cesse d’être misanthrope, ou bien l’on reste m
50
ient coïncider territorialement. Il y faudrait un
vrai
miracle, mais ce miracle ne s’est jamais produit, et il aurait encore
51
, c’est la renaissance d’assemblées politiques au
vrai
sens du mot, au niveau communal, au niveau des groupements de commune
52
nissent en congrès annuel : voilà l’origine d’une
vraie
vie politique européenne. Mais ce qui est important, c’est qu’il exis
53
s fort que la vie, c’est reconnaître aussi que la
vraie
victime du mythe n’est pas Tristan, n’est pas Iseut, et n’est pas non
54
ur passion, qui triomphe au contraire de tout. La
vraie
victime, c’est le roi Marc, symbole du mariage légal. Les amants ont
55
Je vous dis que je n’en crois rien. Car s’il est
vrai
que la passion se nourrit d’obstacles choisis, et que notre culture t
56
eu leur destruction et leur mort ». Certes, c’est
vrai
pour leur existence dans ce monde, mais ils ont aussi bu l’Amour, un
57
e sait qui d’autre, Wagner décrit par sa musique,
vrai
langage du mythe essentiel, la mort transfigurante des amants. Cette
58
nsitoire — et germe d’un être éternel qui est son
vrai
moi, et qui est un ange au ciel. Or, ces anges, nommés Fravartis, son
59
uppose d’abord une dualité entre l’individu et le
vrai
moi, sans laquelle on ne saurait s’aimer soi-même, puisqu’« il faut ê