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calculs irréfutables. Mais cela ne peut pas être
vrai
, pour les deux raisons que voici : 1) Il serait déjà très difficile d
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trop pessimistes, elles vont certainement devenir
vraies
. Question de calcul. (La pomme qui tombe : si rien ne la retient, vou
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ons du club de Rome, car c’est lui qui les rendra
vraies
, quand elles n’étaient que monitoires et n’ambitionnaient rien que d’
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en a pas d’autre que l’obsession de la Puissance,
vrai
moteur de la société industrielle, vraie cause de toutes nos crises e
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uissance, vrai moteur de la société industrielle,
vraie
cause de toutes nos crises et du système qu’elles constituent. Tenter
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s. C’est la justice, non la nécessité, qui est le
vrai
référentiel de l’œuvre. Pour l’homme d’Europe, qu’il le sache ou non,
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éclarant qu’ils confessaient Jésus-Christ comme «
vrai
Dieu et vrai homme » à la fois, les Pères du concile de Chalcédoine o
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ls confessaient Jésus-Christ comme « vrai Dieu et
vrai
homme » à la fois, les Pères du concile de Chalcédoine ont posé le pr
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ra commenté par tout le Moyen Âge. Homologue du «
vrai
Dieu et vrai homme », de la Deuxième Personne divine, la personne hum
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ar tout le Moyen Âge. Homologue du « vrai Dieu et
vrai
homme », de la Deuxième Personne divine, la personne humaine est deve
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ponsabilité, et que la réciproque n’est pas moins
vraie
. La vocation dont l’appel me libère, c’est elle aussi qui me relie à
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et de responsabilité. Or, il se trouve que toute
vraie
politique de la personne appelle la création de petites communautés q
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sur autrui, mais sur soi-même, c’est-à-dire à la
vraie
liberté ? En termes philosophiques et moraux, cela signifie : voulons
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pour l’ensemble de la collaboration (il est bien
vrai
que nous nous sommes un peu laissé entraîner).2 Quels sont ces art
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ur en Chine, mais c’est à Paris que se passe « la
vraie
vie » pour un écrivain. L’ennui, c’est que je n’y connais personne qu
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qui est, chez l’artiste sensible au spirituel, la
vraie
part du sacré autant que de la technique. Le sacré : jamais l’Art av
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particulier ne font que traduire en chiffres les
vrais
choix et les priorités, non pas alléguées, mais réelles. Grand respon
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dimension civique sans laquelle il n’est pas une
vraie
personne, c’est le problème central de notre temps. Les régions fonct
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été gagnées au prix de notre âme ? Au prix de nos
vraies
raisons d’être ? L’autocritique est devenue, au cours des dernières d
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es, on ne peut que lui donner raison, et puis les
vrais
problèmes se posent, ou plutôt : ils sont encore là, attendant qu’on
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ste, dictatorial, présidentiel ou monarchique. La
vraie
chance de grandeur des Suisses, je ne la vois pas ailleurs que dans l
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isons d’être de leur communauté peu croyable mais
vraie
— ce miracle qu’il faut traduire en formules désormais communicables,
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la Première Guerre mondiale, et c’est encore plus
vrai
après la seconde. La fierté légitime et la gêne explicable qu’éprouve
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quant à la qualité de la vie, au civisme, et aux
vraies
libertés. (C’est tout cela que les « grands pays » perdent un peu plu
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rales » ! C’est ignorer le sens et la fonction du
vrai
fédéralisme, celui qui a fait la Suisse à partir des communes médiéva
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ls d’un héroïsme peu probable, et au surplus sans
vraie
grandeur. Tout égoïsme national bien compris, mieux éclairé et inform
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te son histoire : la fédération, les communes, le
vrai
civisme, le refus du recours à la guerre ? Face aux défis de l’Europe
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t de donner des enfants à l’État. Certes, l’amour
vrai
« tend à l’enfantement dans la beauté, selon le corps et selon l’âme…
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Éternel féminin », dira Goethe. La dialectique du
vrai
jour et de l’évidence quotidienne qui domine le roman est gnostique…
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[…]. Les faiblesses de l’amour y passent pour de
vraies
faiblesses. On est loin du dessein « d’exciter les passions » pour
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esprit », ajoute Horace Walpole, donnant ainsi la
vraie
formule d’un donjuanisme féminin. Car c’est la femme qui rêve Don Jua
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ère lui que des femmes émues et heureuses. Il est
vrai
qu’aucune d’elles n’a publié de souvenirs. Mais écoutons ce cri d’Adr
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ne retiendra pas les valeurs qui « obligent » la
vraie
noblesse féodale à la vertu et au service, celles qui pourraient favo
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es » (Baudelaire) où ceux qui aiment situent leur
vraie
patrie. L’amour-passion (selon l’expression de Stendhal) devient la p
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onsable, et auquel Freud n’a voulu que donner ses
vrais
noms. Le Vocabulaire de la psychanalyse de J. Laplanche et J.-B. Pont
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llaient-ils s’accorder et faire entendre enfin le
vrai
« concert européen » ? En fait, chacun tentait de vivre pour son comp
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ités régionales. Au-delà des clichés — d’ailleurs
vrais
— sur « la musique, langage qui ne connaît pas de frontière », il y a
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être communautaire et de cette âme dont, s’il est
vrai
qu’un paysage est un « état d’âme », on pourra contempler aux pages d
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monde. Or à mon sens, c’est le contraire qui est
vrai
. Il arrive bien souvent que celui qui fait des lettres, de la médecin
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trique. Il croit que le droit qu’il étudie est le
vrai
Droit universel ; que l’histoire a un sens et qu’elle détient la clé
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de religion, et Hitler, Staline ou Mussolini, en
vrais
charlatans, se taillaient des triomphes faciles parce qu’ils arrivaie
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ur de français à l’Université de Francfort… C’est
vrai
. C’est grâce à Abetz que j’ai pu voir de près l’horreur hitlérienne à
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an. » À l’évidence, vous n’avez pas changé… C’est
vrai
. Qu’y puis-je ? Le classicisme, en morale, c’est aussi une forme d’es
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anonyme sur lequel on ne peut rien. C’est ça, la
vraie
réalité de l’État. Ne vous semble-t-il pas un peu court de réduire l’
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encore qu’une intention, et il ne peut y avoir de
vraie
démocratie dans des dimensions qui sont incompatibles avec le dialogu
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ésolus au niveau, trop étroit, des cantons. C’est
vrai
dans la mesure seulement où les gens renoncent à être responsables et
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nique et ceux qui en vivent, s’est trompé sur ses
vrais
besoins. « Il n’y a d’impératifs que de la nature » et nous devons lu
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ire prendre leurs désirs pour nos fatalités ». La
vraie
politique de l’énergie n’est pas celle qui se calculera en fonction d
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e l’Europe n’avance pas. Ce n’est pas entièrement
vrai
, il y a des points positifs : je mentionnerai tout d’abord le fait qu
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ible. Ce qui est grave actuellement c’est que les
vrais
problèmes ne sont pas du tout abordés par les hommes politiques. Rega
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sommes libres aussi de réagir, « de retrouver nos
vrais
désirs, nos vrais besoins et les vraies fins vers lesquelles ils nous
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i de réagir, « de retrouver nos vrais désirs, nos
vrais
besoins et les vraies fins vers lesquelles ils nous portent ». « À vo
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rouver nos vrais désirs, nos vrais besoins et les
vraies
fins vers lesquelles ils nous portent ». « À vous de jouer ! » lance-
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clarations fracassantes. Mais, convaincu qu’« une
vraie
société n’est rien d’autre qu’une dimension de la personne », il prôn
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Vous voulez dire que je n’ai rien empêché, c’est
vrai
. Mais la fonction de l’intellectuel est de forcer les hommes à réfléc
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s, dicte certaines « mesures ». Pour Aristote, la
vraie
cité, conviviale, est celle où tout le monde pourrait se connaître :
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convenu de nommer, non sans optimisme, quant à la
vraie
nature du phénomène, la Construction européenne. Il n’est que juste e
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icanante. Généalogie des grands desseins Les
vrais
débuts datent du premier projet d’union de l’Europe : Pour récupérer
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acte et une épure en fait d’histoire. Qui est le
vrai
père ? Celui qui conçoit le projet ou celui qui le réalise ? Peut-êtr
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l’Europe des Six, puis des Neuf, en attendant la
vraie
Europe — celle des peuples et non des États. L’Europe des peuples,
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ns que pour celui qui se met en marche, et que la
vraie
voie est unique. ⁂ Pour entrer dans la dialectique de l’hérésie et de
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Elle peut signifier aussi bien qu’il n’y a qu’une
vraie
voie, qu’une vérité viable, la même pour tous, à la fois générale et
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sprit ne consiste nullement à réitérer ce qui est
vrai
pour n’importe qui, et encore moins à s’y conformer en s’y forçant co
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ns aucun Siècle, mais seulement en chemin vers le
vrai
But de tous, et en Lui seul. D’ici là, l’Église véritable ne saurait
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nter leur chemin sans aucune garantie, puisque le
vrai
chemin, qui conduit l’homme à Dieu, part toujours d’une personne sans