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re établi ». Pour nous, il s’agissait aussi d’une
vraie
« révolution » partant de l’homme considéré comme personne, et non pa
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itation du pétrole serait fabuleusement chère… La
vraie
raison de cette guerre, c’est que la souveraineté nationale a été att
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ression d’une centralité continentale, ce qui est
vrai
à tous points de vue. Dans votre livre, vous disiez qu’il faut aller
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parallèlement aux structures de l’État-nation. La
vraie
révolution vient d’en bas. Ce qui me donne un peu confiance dans le n
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la question centrale de notre temps. Tel fut son
vrai
Pouvoir, et j’écrivais alors : « Seul un prophète peut lui répondre »
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grès moral ? Je ne sais. Je le souhaite. C’est le
vrai
sens de toute vie. Estimez-vous que, dans le monde, les libertés indi
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sont montrés du doigt et insultés comme étant les
vrais
fauteurs de guerre, dans la presse à peu près unanime à l’ouest du ri
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ans la tradition biblique, ce soupir déchirant du
vrai
prophète : Seigneur, tu le sais, je n’ai pas désiré le jour du malhe
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Voilà qui est simple et clair, je crois bien. Les
vraies
difficultés commencent lorsqu’il s’agit d’appliquer ces principes à n
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el à de tels assemblages de reflets, comparés aux
vraies
assemblées d’hommes en contact. Un meilleur substitut serait sans dou
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emps de la réflexion sur ce qu’on va dire, sur le
vrai
sens de ce qu’on veut dire, le temps de l’analyse et de la vérificati
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ue chacun sait, n’a pu y entrer.) S’il y avait un
vrai
Parlement européen à élire au suffrage universel, ce serait évidemmen
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ble quant à ce qui suit. R. Strassoldo dit : « Le
vrai
problème du fédéralisme est au niveau mondial ; quelles forces extern
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d’une liberté sans frein, qui pour moi n’est pas
vraie
liberté puisqu’elle se dissocie de toute responsabilité. Je crois que
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vrir, dans les années 1930, que l’Europe était la
vraie
patrie de l’amour, en tout cas de cette forme de l’amour qu’est la pa
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de bien : car Orwell, à mon sens, n’a pas été le
vrai
prophète que l’on célèbre à l’unisson. Et cela pour deux motifs d’ord
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e et solidaire, Lech Walesa. Mais il y a plus. Le
vrai
prophète n’est pas celui qui annonce les catastrophes et s’en tient l
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is ! je n’ai pas désiré le jour du malheur ! » Le
vrai
prophète veut détourner son peuple des voies qui conduisent au désast
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lés par les Pouvoirs. Je tiens à le dire ici : le
vrai
danger n’est pas là où on le dénonce trop facilement, dans le contrôl
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se prétende par ailleurs. C’est là que réside le
vrai
danger, non dans l’ordinateur, qui n’est qu’un instrument permettant
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Karl Barth. Son canton — ou l’Europe. Et il est
vrai
que nos meilleurs esprits, hors du compartiment natal, iront chercher
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tait à inventer un ordre humain, et à refaire une
vraie
communauté. Ce fut l’ordre que catholiques et protestants, juifs, ag
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en avance sur l’évolution de notre siècle et les
vrais
contemporains de ce que ce siècle découvre aujourd’hui. Ce que j’affi
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ai honte. » Malices de Jean Paulhan Il est
vrai
que « le bureau de Paulhan » était un lieu sacré de ma mythologie, «
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njour ! Je suis content de vous voir. Mais est-ce
vrai
ce que l’on dit, que c’est vous qui avez écrit le dernier recueil d’e
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e reprise par vos Éditions “Je sers”… » — « C’est
vrai
, dis-je sans hésiter, mais la revue s’appellera désormais Commerce et
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l de la recherche de Starobinski qui constitue le
vrai
sujet de cet ouvrage, cependant que le mouvement observé chez Montaig
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asques ! Montaigne prend alors le parti de l’être
vrai
, de son identité foncière aux prises avec le mensonge universel. Mais
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lus d’un auteur-prétexte, il nous ferait voir son
vrai
moi. Ce serait, j’en suis sûr, son chef-d’œuvre. ad. « Éloge de Jea
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peuvent assumer leur responsabilité civique. Les
vraies
difficultés commencent lorsqu’il s’agit d’appliquer ces principes à n
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el à de tels assemblages de reflets, comparés aux
vraies
assemblées d’hommes en contact. Bibliographie Aristote, La Politiq
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que le PC jugera toujours en dernier ressort des
vrais
intérêts de l’État, suffit à vider de toute substance cet article et
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le serpent, bien sûr, n’est plus là. Il n’est pas
vrai
de dire, aujourd’hui, que les centrales nucléaires « qu’on le veuille
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de là, que de nous ! Nous n’osons pas avouer nos
vrais
désirs. Nous les déguisons en « impératifs technologiques » voire en
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ssités de défense nationale ». Nous mentons à nos
vrais
désirs. Nous disons tous que nous voulons la liberté. En vérité, beau
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ibre que si l’on est responsable et l’inverse est
vrai
. Devant un tribunal, si votre avocat peut prouver que vous n’étiez pa
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l’on subit, c’est le contraire de l’acte d’amour
vrai
. J’ai montré les conséquences infinies de la passion dans de nombreux