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définissent une liberté de la pensée qui n’est au
vrai
qu’une assurance contre toute espèce de sanction. Il est clair que ce
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ir) ont exprimé en toute clarté qu’ils étaient de
vrais
libéraux, irresponsables nés égarés pour un temps dans les voies de «
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a situation s’éclaircit. Voici venir le temps des
vrais
dangers, c’est-à-dire des vraies luttes et des vrais engagements. »
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enir le temps des vrais dangers, c’est-à-dire des
vraies
luttes et des vrais engagements. » Conclusion J.-P. Sartre, au
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is dangers, c’est-à-dire des vraies luttes et des
vrais
engagements. » Conclusion J.-P. Sartre, auquel nous devons tan
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cles de rejets et d’innovation. Peut-être le seul
vrai
anti-Européen en art comme en littérature et en philosophie comme en
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cette image comme celle du modèle directeur de la
vraie
tradition européenne, la seule qui puisse nous sauver de la tentation
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Dieu et de l’Homme. Et Jésus-Christ fut déclaré «
vrai
Dieu et vrai homme à la fois ». C’est à partir de cette antinomie que
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Homme. Et Jésus-Christ fut déclaré « vrai Dieu et
vrai
homme à la fois ». C’est à partir de cette antinomie que les Pères on
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qu’une confusion générale des esprits quant à la
vraie
nature de l’Europe dont ils parlent. Cette « Europe » ne serait-elle
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les gaullistes orthodoxes) qui pour défendre « la
vraie
Europe » a sifflé et conspué l’Europe fédérale, pourtant admise par O
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n ne voit plus que les partis. Qui va traiter des
vrais
problèmes ? S’avance alors M. Michel Debré. III. Sur un « livre in
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pour lui gaulliste, d’une Europe des États, c’est
vrai
, mais cependant dotée d’une « Assemblée des nations européennes, comp
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l Debré, que lorsqu’il révèle ou plutôt trahit sa
vraie
nature de « complot contre la France ». M. Debré est fermement persua
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France qui ne connaîtra pas, avant longtemps, de
vraies
régions et qui va se vautrer dans la médiocrité ». (p. 115) Les vérit
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emière élection du Parlement européen. — S’il est
vrai
que la cause européenne, qui semblait endormie ou qu’on croyait perdu
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des régionalistes et des écologistes ; — s’il est
vrai
que ni la région ne se fera sans l’Europe fédérée, ni celle-ci sans d
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celle-ci sans des régions à sa base ; — s’il est
vrai
enfin que les problèmes écologiques ne peuvent être résolus qu’à l’éc
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volontiers (à la commission) un temps qui, à dire
vrai
, me manque ! » À La Haye, notre commission est la moins nombreuse du
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rre atomique, exporté sous le nom de Progrès. Les
vrais
Européens d’aujourd’hui ne sont pas ceux qui recommandent qu’on « tir
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versité peut apparaître, paradoxalement, comme le
vrai
caractère distinctif face aux grandes cultures de l’Asie. Les couvent
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rsités, d’une tentative de libération, sinon d’un
vrai
retour à la grande liberté médiévale. Mais quels que soient les mérit
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nstituant l’Euratom : une Université européenne ?
Vraie
université, puisqu’elle traiterait spécifiquement du général, en vue
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division. On les croyait voués à la recherche du
Vrai
. m. « L’Université par l’Europe et vice versa », Cadmos, Genève, n°
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comment surmonter l’antinomie Nord-Sud, s’il est
vrai
qu’elle plonge des racines aussi profondes dans notre histoire ? Sino
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de l’humanité »56. Car elle savait surtout que la
vraie
finalité d’une union qui mérite le nom d’européenne, ne saurait être
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religions. Quelques exemples : — hindouisme : le
vrai
spirituel, celui à qui rien n’appartient, n’appartient plus à rien. I
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rs d’inconscience », « Hitler hors la loi », « La
vraie
défense contre l’esprit totalitaire », ce dernier texte ayant été dis
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C’est qu’en somme il ignore à peu près tout de la
vraie
nature — religieuse — du prétendu « socialisme national » d’Hitler, e
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aient plus que personne ? Mais surtout : s’il est
vrai
, comme l’écrit noir sur blanc Raymond Aron, que nos idées personnalis
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ur la présence de Maurice Clavel à Uriage. Il est
vrai
que c’est Clavel qui a lancé les « nouveaux philosophes ». Post-sc
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r l’individualisme bourgeois destructeur de toute
vraie
communauté ? Le 1er novembre 1938, dans le numéro 74 d’ Esprit , ils
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estion de l’Europe, bien au contraire, puisque le
vrai
problème se réduit à savoir si l’Europe — quel que soit son régime —
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’est plus la guerre, mais bien la paix qui est le
vrai
cas d’urgence. L’ex-ambassadrice des USA auprès des Nations unies,
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dit : — C’est dur ! Elle, souriant : — Non, c’est
vrai
. Le président du mouvement européen, Giuseppe Petrilli, écrit dans l
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s réflexes par la Technique, fille de la Science,
vraie
religion du xxe siècle. Tout cela, qui était le grand dessein de Nap
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on tacite lie les deux personnes du drame : ni la
vraie
guerre ni la vraie paix ne sauraient être tolérées dans le jeu qui as
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eux personnes du drame : ni la vraie guerre ni la
vraie
paix ne sauraient être tolérées dans le jeu qui assure le pouvoir des
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cas, le sens était le même : création d’un ordre
vrai
contre le « désordre établi ». 76. Rapport au peuple européen sur
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a sémiologie ; cela fait encore plus d’effet. Les
vraies
recherches sont sémiologiques, ou ne sont pas « de pointe ». Nous avo
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rile. Je pense que vous avez posé le doigt sur le
vrai
problème en parlant des réactions du tiers-monde, car s’il est urgent
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airement. Elle est d’unir ses peuples selon leur
vrai
génie, qui est celui de la diversité, et dans les conditions du xxe
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e l’Europe s’appelle la dignité de l’homme, et sa
vraie
force est dans la liberté. Tel est l’enjeu final de notre lutte. C’es
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s députés, vous le savez bien, vous n’êtes pas de
vrais
députés, car les vrais sont élus, et vous êtes simplement délégués po
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z bien, vous n’êtes pas de vrais députés, car les
vrais
sont élus, et vous êtes simplement délégués pour consultation. Décide
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s la fin des années 1950, faute d’avoir résolu le
vrai
problème : celui de ses finalités politiques au sens large, le Consei
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mouvement l’Europe et sa culture commune. Il est
vrai
que les préoccupations culturelles du CE n’ont guère pris force qu’à
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(donc nationales) : ce qui évacuerait, si c’était
vrai
, la signification principale du document… On nous apprend ensuite que
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ais d’une prise de conscience plus impérieuse des
vraies
urgences, celles qu’aggrave aujourd’hui l’appel du but trop souvent d
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opéenne, à invoquer, et d’abord à faire naître un
vrai
civisme européen ; et, but suprême, à assurer le maintien de la paix
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nce est le pays même de la centralisation. Il est
vrai
qu’il y avait parmi nous des Européens de partout… il y avait un Russ
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le. D’ailleurs, ce n’est pas du tout ennuyeux, le
vrai
amour. Je voudrais donc qu’on rétablisse comme but de la société (cel