1 toutes humaines qui trahissent une vanité, et la vraie joie n’est pas avec ceux qui nous parlent de la « tristesse » du mess

2 evient la vérité vivante, le contenu décisif d’un vrai discours sur Dieu. Mais comment établir le rapport nécessaire de ces

3 ux aspects de la vérité à leur centre vivant ? Le vrai dialecticien sait que ce centre ne peut être ni appréhendé, ni contem

4 notre recherche, mais en même temps, si elle est vraie , notre salut. Et c’est Pascal, traduisant Augustin : « Tu ne Me cherc

5 i conclut avec le monde une paix honteuse. Il est vrai que Rousseau ne s’en glorifie pas, et qu’il se voit à cette époque « 

6 parfois de quelques phrases, d’un mot rendu à son vrai sens, pour orienter le débat intérieur, pour donner à telle problémat

7 ncipe critique qui nous rappellera constamment la vraie nature, le caractère absolu de cette difficulté. La question précise

8 aître, éprouver péniblement ces limites, voilà la vraie leçon de nos voyages en Palestine, réels ou figurés. Nous ne pouvons

9 cesse ces tentatives inévitables, et déclare leur vraie signification19. Quand nous parlons des témoins de la Bible, nous n’a

10 faut qu’il croisse et que je diminue. » Voilà le vrai sens du tableau, et peu importe que les personnages soient vêtus comm

11 ans nulle angoisse des choses folles et follement vraies . Je vous reproche tout simplement — de les dire ! et surtout de les d

12 urs excessivement « politique »… Le second terme, vrai en soi, et que nous croyons de toute notre foi31, devient faux et ne

13 grâce te suffit »33, vous retrouvez le sens de la vraie tradition : celle qui n’est pas une « autre source », un vain renfort