1 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
1 ence au monde et à moi-même conjointement… Il est vrai que beaucoup de choses changeaient alors en très peu de temps. À Pari
2 s, réels, dignes d’intérêt. Ou si vous voulez, le vrai sujet de ma réflexion est l’époque, mais conçue comme le lieu de l’en
3 pect du réel, c’est le respect du paradoxe. C’est vrai qu’il m’amuse, vrai qu’il correspond à un goût profond. Mais il est d
4 le respect du paradoxe. C’est vrai qu’il m’amuse, vrai qu’il correspond à un goût profond. Mais il est d’abord la condition
5 nt toute chose, il faut considérer la fin ! C’est vrai que je collabore aux études sur l’an 2000. Seulement, il faut compren
2 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Descartes inversé ou le zen occidental (14 décembre 1972)
6 ) La fin seule justifie les moyens s’ils sont les vrais moyens d’une juste fin. Car nulle fin ne peut communiquer plus de jus
3 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Avez-vous lu Jérôme Deshusses ? (16 mars 1979)
7 plus produit ce qui est ». En vérité, toutes les vraies causes sont causes finales. Seul le présent produit du passé, non l’i
8 ation de nos faux-fuyants, une telle rage de dire vrai et plus encore, peut-être, cette manière intrépide et joyeuse de fair
9 aussi le mien —, voici, loin de toutes modes, un vrai « penseur de fond ». Il était temps. k. « Avez-vous lu Jérôme Desh
4 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
10 ons d’ordre politique. Pour défendre l’Europe, la vraie , celle de la culture gréco-latine, judéo-chrétienne, et d’abord celti