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expressions telles que : « Cela ne peut pas être
vrai
: ce serait trop horrible » (c’est-à-dire : cela obligerait à envisag
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us mal avec le style de la pensée marxiste. La
vraie
violence Nous pouvons maintenant essayer de préciser une distincti
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cintre : on y retrouve ces trois caractères de la
vraie
violence spirituelle, ou de la vraie création révolutionnaire : la pi
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ctères de la vraie violence spirituelle, ou de la
vraie
création révolutionnaire : la pierre est élevée, c’est-à-dire « libér
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e en vertu d’une décision de l’esprit2. Enfin, la
vraie
violence n’exclut nullement la délicatesse (voir Nietzsche), ni la su
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xal qu’à ceux qui n’auraient pas su distinguer la
vraie
violence de la brutalité, du simple fait qu’elles sont souvent liées.
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ses de l’esprit. Elle ne déteste rien tant que la
vraie
violence, inventive et imprévue, qui viendrait déranger ses construct
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rmes dont nous disposions contre la brutalité. La
vraie
violence est en définitive pacifiante : elle accepte les conflits, le
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utalité qui, à son tour, ne peut pas supporter la
vraie
violence. Le libéralisme et la dictature affectent l’un et l’autre la