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ingt fois ce raisonnement, dans la bouche, il est
vrai
, de personnes que leur ignorance du marxisme excusait en partie. On c
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du marxisme excusait en partie. On croit toujours
vrai
ce qui a l’air simple, et le moins qu’on puisse dire de notre syllogi
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gmenter sa tension essentielle — et c’est cela la
vraie
période de transition —, jusqu’au jour où les servants d’une mécaniqu
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manifestement trahies par le fascisme stalinien,
vrai
responsable de l’état présent de la Russie. Ensuite, nous ferons obse
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rons comme première condition de toute révolution
vraie
, que ceux qui luttent pour elle témoignent tout d’abord de leur human
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des « masses ». Une culture isolée n’est pas une
vraie
culture ; elle n’est plus responsable de son action concrète. Dans un
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le échoue à le créer, c’est qu’elle n’est pas une
vraie
révolution, mais simplement une dictature de plus. Or ce n’est pas av
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’être de chair et de sang qu’elle déguisait, — le
vrai
pays. Il suffit d’indiquer pour mémoire : la scission socialiste, le
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s alors, si la droite et la gauche deviennent les
vrais
foyers de la vie publique, et si d’autre part leurs mystiques se sont
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’une idée, dans des complots dont ils ignorent le
vrai
but, dans une action de défense qui n’ose pas préciser ce qu’elle déf
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, ce n’est pas sérieux. L’adversaire n’est pas un
vrai
adversaire, comme à la guerre. Nous avons besoin de sentir devant nou
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venu quelques doutes, pendant cet entretien : des
vrais
héros parlent-ils d’héroïsme, ont-ils une théorie là-dessus, l’enseig
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ne voix tonnante : « Voilà ce que j’appelle de la
vraie
démocratie ! » À quoi les « démocraties de l’Ouest » peuvent répondre
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sisse en connaissance de cause. C’est pourquoi la
vraie
démocratie n’est possible que là où l’opinion a été formée et discipl
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it un instant gêné par le sophisme qui assimile «
vraie
démocratie » et gouvernement d’un seul appuyé sur une opinion qu’il s
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lébiscite, malgré ses prétentions récentes à la «
vraie
démocratie ». C’est que le problème allemand fondamental est aujourd’
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cadre qui soit à mesure d’homme, — pour la seule
vraie
« démocratie », dirions-nous volontiers, si le mot ne couvrait aujour
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es se vantent de ne servir à rien ? Mais s’il est
vrai
que l’on abuse de ce terme pour couvrir les plus vils marchandages, o
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ls marchandages, ou les plus lucratifs ; s’il est
vrai
que les journaux du Comité des forges font profession de défendre le
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rofession de défendre le « spirituel » ; s’il est
vrai
que les « bourgeois » de toutes classes ont fait de « l’esprit » un r
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À droite on assimile volontiers [la] France, « la
vraie
», aux partis de droite. À gauche, on fait volontiers passer la fidél
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ous, personnalistes, c’est tout le contraire : la
vraie
politique ne saurait être qu’une expression de la personne même. Elle
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onnellement, se trouve engagé par là même dans la
vraie
politique. Car d’une part il a besoin de la base matérielle assurée p
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ceux qui nous reprochent de vouloir une politique
vraie
, et même intelligente : — Continuez donc ! Militez dans le Front popu
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r la description donnée par l’auteur. Il est bien
vrai
que le progrès technique a été détourné de ses fins humaines par Tayl
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ait fausse, à son point de vue, ce qui eût été le
vrai
sujet d’un livre qui porte un pareil titre. Car la crise du Progrès n
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rme « dialectique » lorsqu’elle est maniée par un
vrai
marxiste, au service d’un État « dialectiquement » totalitaire. Tout
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e. Désespérer de faire comprendre aux Français la
vraie
nature des régimes étrangers, pour lesquels ils sont prêts à se battr
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s’émeuvent à la fois. Et en ce point, ils ne sont
vrais
, sérieux, ou dignes d’exciter l’angoisse et le plaisir de la résoluti
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oires : c’est plus tard qu’on verra s’ils étaient
vrais
. 1. De l’abstrait, considéré comme la condition même du concret, c’es
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limité qu’il est possible. Il n’en est pas moins
vrai
que ce n’est pas au niveau de cet État administratif que l’autorité p
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représentant d’une doctrine spécifique. S’il est
vrai
que ses arrêts constituent dans une certaine mesure une tradition jur
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e n° 31, déjà cité, de cette revue). Il n’est pas
vrai
que l’autorité spirituelle dépende d’un pouvoir matériel de contraint
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ir) ont exprimé en toute clarté qu’ils étaient de
vrais
libéraux, irresponsables nés79, égarés pour un temps dans les voies d
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a situation s’éclaircit. Voici venir le temps des
vrais
dangers, c’est-à-dire des vraies luttes et des vrais engagements. 7
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enir le temps des vrais dangers, c’est-à-dire des
vraies
luttes et des vrais engagements. 78. Baudelaire voulait que la crit
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is dangers, c’est-à-dire des vraies luttes et des
vrais
engagements. 78. Baudelaire voulait que la critique des poètes — qu