1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1  » En somme, être laïque, c’est être religieux au vrai sens du mot, selon les paroles de Gambetta, d’Ernest Lavisse et de qu
2 que l’Église est contre les travailleurs. Est-ce vrai  ? Il y a plusieurs églises, et malheureusement elles ne s’entendent p
3 Capitalisme, bourgeoisie égoïste, guerre. Mais le vrai chrétien est avec les petits. Résumé de ce que la Bible dit des trava
4 hâmes pas plus loin la cause du phénomène. Il est vrai qu’on a beau porter un nombre excessif de jupons, cela ne devrait pas
5 ure, où l’on se sentait relégué à l’écart de la «  vraie  » circulation. Et l’on ne voyait guère que des gares, ce qu’il y a de
6 tirées de la conférence à A… Elles sont également vraies . Ce qui est faux, c’est de parler du peuple en général. « On le savai
7 écarter le plus possible de ce qui est simplement vrai . Je comprends assez bien qu’un certain nombre d’écrivains français ai
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
8 es après un siècle de science positiviste. Est-il vrai que la nuit et le rêve n’ont rien à révéler qui importe au jour ? Est
9 n’ont rien à révéler qui importe au jour ? Est-il vrai que la passion, l’angoisse et la folie sont moins réelles que nos sag
10 ques les voies d’un retour au monde perdu, à la «  vraie vie » qui est « ailleurs », comme dit Rimbaud. Vie d’expansion indéfi
11 progressive à soi-même est l’ambition de tous les vrais mystiques. Mais pourquoi voudrait-on mourir ? La biographie de plusie
12 pas des extases indicibles qui sont promises aux vrais croyants, mais au contraire il leur est demandé d’agir et d’annoncer
13 un sentiment de manque d’assurance nationale. La vraie Allemagne ne peut pas être celle qui a subi la « blessure ». Il faut
14 tant qu’individu conscient ; on lui a dit que sa vraie vie était entre les mains du parti, d’un démiurge anonyme et obscur d
15 abiles ne dissimulent que très imparfaitement les vrais ressorts du régime hitlérien. Nous ne sommes plus en présence de Bism
16 e moi coupable et détesté à quelque chose de plus vrai que la vie, et qui est sa mission millénaire. « Chez nous, proclamait
3 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
17 nent d’Irlande. « True average-Americans all ! de vrais Américains moyens », concluent-ils en souriant. Nous leur avons offer
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
18 nnaliste dans la genèse de nos mouvements. Il est vrai que beaucoup de petits groupes qui se formèrent spontanément dans les
19 ient rien à cette doctrine. Mais il est non moins vrai que les grands thèmes et le vocabulaire personnalistes reparaissent a
5 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
20 uer — comme je l’ai dit ici, au mois d’avril — le vrai début de la bataille décisive. Il était raisonnable de prévoir que la
21 ont su voir le but et qui ont osé lui donner son vrai nom : fédération. Les progrès surprenants de l’idée fédéraliste parmi
6 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
22 et heureusement exceptionnel, mais qui signale un vrai danger. Voici ce qu’écrivait, il y a quelques mois, M. Jean Thibaud,
23 de la créativité qui était depuis des siècles la vraie cause de notre puissance et donc de notre indépendance. De plus, si l
24 -cents-millions à l’ouest du rideau de fer. C’est vrai en fait, mais nous ne le sentons pas. Car je parlais en tant qu’Europ
25 re dont on ne saurait trop répéter qu’elle est le vrai , le seul secret de notre puissance, il est temps de proposer un autre
26 insignifiant de l’Asie. Et cela veut dire que la vraie source de la puissance européenne est sa culture, et qu’il serait abs
27 ntenir les risques de la liberté, qui ont fait la vraie grandeur de l’homme européen, et pour sauver en face de la terre des
7 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
28 holy man, a-t-il répondu distraitement. — Mais un vrai ou un charlatan ? — Comment peut-on savoir. Il y en a tant. Il marcha
29 sans aucune espèce de liberté possible, s’il est vrai que toute liberté suppose quelque hiatus intime entre le Moi et le de
30 s’est donné une petite tape sur le genou. « C’est vrai , cela ! me dit-il, il y a du vrai là-dedans… » J’ai pris congé au hau
31 genou. « C’est vrai, cela ! me dit-il, il y a du vrai là-dedans… » J’ai pris congé au haut de l’escalier. Mais il me rejoin
32 elle. Tout le monde parle de sa beauté. Et il est vrai que son visage et son maintien expriment une harmonie de l’âme hindou
8 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
33 gmatique. Alors que Barth veut définir ce qui est vrai « en Dieu » selon la Parole de Dieu, Jung recherche ce qui se passe e
34 Karl Barth. Son canton — ou l’Europe. » Et il est vrai que nos meilleurs esprits, hors de l’étroit compartiment natal, iront
9 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
35 nisé que par des traîtres à la République… Il est vrai que mon Littré date de 1865 : « fédéralisme » y est encore qualifié d
36 lui soit pour ainsi dire congénital. Or s’il est vrai que l’union de l’Europe est l’entreprise capitale de siècle, et s’il
37 enseignons un seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme… fils unique en deux natures, sans confusion (ni)
38 seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme… fils unique en deux natures, sans confusion (ni) séparation. L
39 héories de L. de Broglie sur la lumière, faite de vrais corpuscules mais aussi de vraies ondes…) ⁂ Notre modèle de pensée féd
40 lumière, faite de vrais corpuscules mais aussi de vraies ondes…) ⁂ Notre modèle de pensée fédéraliste ainsi posé à la clé de l