1
ils ne sont que reflets, épisodes, symboles : le
vrai
drame de son destin est ailleurs. Il se met alors à m’expliquer des s
2
s en lamé qui sont presque des dames, et aussi de
vrais
messieurs et de vraies dames : ils montent et descendent de toutes pa
3
sque des dames, et aussi de vrais messieurs et de
vraies
dames : ils montent et descendent de toutes parts, du haut des grands
4
’un nouveau riche ; ailleurs on les imite. Il est
vrai
que voici enfin des Autrichiens pur sang ; moi qui prétendais l’autre
5
e éperdu des ballerines est émouvant, masque plus
vrai
que leurs visages.) On éteint. Et c’est alors, d’un balcon qui domine
6
ure assourdissante du monde : je vois une lumière
vraie
, chaude et triomphante, et des vaisseaux qui ramènent Iseut dans le s
7
d’un voyage au hasard commencé dans l’insomnie —
vrai
voyage à dormir debout… Le monde renaît dans des accords. Une mélodi
8
ie. C’est le faux merveilleux qui a discrédité le
vrai
, lequel est quotidien, circonspect, souvent microscopique, moralement
9
rien, gênante comme un cadeau de pauvre, comme un
vrai
cadeau. Si le conteur ment — pendant qu’il y est, il ferait mieux de
10
’oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un
vrai
sourire, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » r
11
andeur, d’imaginations absurdes et de souffrances
vraies
, n’est-ce point le climat de la passion ? — C’est celui de la Hongrie
12
devenir une grande personne. On me l’a dit, c’est
vrai
: cette ville historique est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais
13
at d’âme et non pas une question de transport. Un
vrai
voyage, on ne sait jamais où cela mène, c’est une aventure qui relève
14
grie de mes rêves, ma Hongrie intérieure ? Il est
vrai
que l’on connaît depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les u
15
e, par quel hasard, donne l’accord qui m’ouvre un
vrai
silence : déjà je leur échappe — je t’échappe ô douceur de vivre ! To
16
ci comme un rêve ? ou comme quelque chose de bien
vrai
et qui s’est passé cette nuit ? Plusieurs choses sont douces au désir
17
fictif de la responsabilité. Nous développons au
vrai
un hamlétisme. Notre préparation à l’autonomie de l’individu demeure