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ïstes, dira-t-on. J’en ai quelques autres, il est
vrai
. Mais ne vaut-il pas mieux les taire, dans un temps où certain humani
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’être. Les partis politiques ne possèdent, il est
vrai
, ni à gauche ni à droite, aucune définition de l’homme9. C’est peut-ê
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que, si d’une part toute foi est action, s’il est
vrai
d’autre part qu’une action quelconque, d’ordre intellectuel par exemp
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r les fins dernières. Pourtant la seule politique
vraie
serait celle dont tous les moyens seraient vraiment ordonnés au vrai
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ont tous les moyens seraient vraiment ordonnés au
vrai
but assigné à la vie de l’homme. Le souci des moyens et de leur conve
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s. On n’agit pas humainement si l’on ignore notre
vraie
condition. Mais l’état du chrétien dans ce monde est justement de con
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nt incompréhensibles et impensables. Ce n’est pas
vrai
! C’est encore un vieux raisonnement que nous connaissons trop bien,
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er. Ce qui est difficile, ce n’est pas de voir le
vrai
, c’est d’oser les actes qu’il faut, et que nous connaissons très bien
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ntre un « certain esprit simpliste », qui est, au
vrai
, l’esprit de décision et d’engagement concret dont nous avons le plus
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avoir si la foi des marxistes et des racistes est
vraie
. Sur quoi se fonde-t-elle ? Quelles réalités sont à la base ? De l’av
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tisans de Marx et de Gobineau. Il est tout à fait
vrai
que les adeptes du marxisme et du racisme sont entièrement dominés pa
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tre aurions-nous un peu plus d’attention pour les
vrais
problèmes de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’
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l’homme se l’est appropriée, il découvre que son
vrai
moi réside dans l’exercice de cette vocation. L’exercice de sa vocati
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e… régularité. L’Esprit souffle où il veut, c’est
vrai
. Mais la vocation est avant tout incarnation de l’Esprit. Et l’incarn
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ermes. Marx révélait ainsi à cette bourgeoisie la
vraie
nature de la société moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanth
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ère. De cet argument polémique, de ce rappel à la
vraie
nature des choses, ou tout au moins à un aspect des choses qu’on avai
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enez tant que parce qu’il vous permet d’éluder le
vrai
problème. » Mais cette réponse simpliste, valable tout au plus contre
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ité dans celui de la liberté ». Ce saut, c’est la
vraie
révolution, nous dit-on. Or cette révolution n’est pas encore opérée
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n système, d’une action, d’une croyance. S’il est
vrai
que l’homme est un ensemble de déterminismes, aucune liberté ne sorti
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et que nous invoquons contre nos désespoirs trop
vrais
; ce sont les dieux que l’homme fait à son image. Or, si l’homme est
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e sur un certain humour Il me semble qu’une foi
vraie
ne va pas sans quelque ironie à l’égard des conflits du monde, et qu’
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ord, la question qui nous occupe ici est-elle une
vraie
question ? Est-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose da
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chrétien ne pourrait-il pas relever maintenant la
vraie
défense de l’homme, — de l’homme considéré comme le lieu naturel du n
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’est l’obéissance à Dieu, mais que c’est aussi le
vrai
but. La fin est déjà présente dans l’origine. Les moyens, les modes d
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u moins, un culte officiel des héros ? — Le héros
vrai
n’imite personne. Il n’est conforme qu’à sa vocation. Qui n’est pa
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i sourds qu’ils ne s’irritent de nos cris. Il est
vrai
que certains, au lendemain de la guerre, ont trop souvent crié au lou
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xisme faux ? Il reste à faire la révolution, — la
vraie
. Ni à gauche, ni à droite, il n’y a rien pour nous. Nous nous plaçons
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tent Marx : une « utopie » sans doute, — du moins
vraie
celle-là. Les témoignages qu’on a pu lire dans ce Cahier définissen
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de marcher. Nous jouerons tout sur une révolution
vraie
. Les catastrophes sont proches. Nous ne sommes plus les seuls à le di
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t la mort56. Mais la co-efficience de deux termes
vrais
, et assumés comme tels, c’est la personne. L’opposition de Proudhon e
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re : jusqu’à ce point où le marxisme, révélant sa
vraie
nature, apparaît comme un cas privilégié de la folie capitaliste-maté
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s que voici. 56. Toute solution systématique du
vrai
conflit nécessité-liberté dans la mesure où elle existe en soi et dan
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parle que de ce qui est contrôlable. « Si c’était
vrai
, ça se verrait », dit le peuple. N’oublions pas que l’intellectuel d
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iliser les effets du travail. Mais nous savons le
vrai
nom du « temps vuide » et c’est chômage. Tout le mal est venu d’une s
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que le « temps vuide » de l’Encyclopédie n’est au
vrai
qu’un temps vidé, irréel renversement d’un temps rempli, d’un travail