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truire les dernières forces autrichiennes. Est-ce
vrai
? Nicolas. — C’est vrai. 1er officier. — Tu connaissais nos o
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autrichiennes. Est-ce vrai ? Nicolas. — C’est
vrai
. 1er officier. — Tu connaissais nos ordres ? Pas de quartier.
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ts de grande politique ! Un pèlerin. — Est-il
vrai
que le frère Claus n’a rien mangé depuis des mois, sauf la très saint
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j’y croie directement… Mais ça pourrait bien être
vrai
quand même… 1er valet (aux pèlerins). — Il faut vous dire : nous
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Chœur céleste4. Étoile du matin, promesse du
vrai
jour, En ta clarté sois notre éveil toujours ! Surgissez et levez Qui
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ngeraient pas à la révolte. Nicolas. — Tu dis
vrai
. Mais écoute-moi : si tous les riches étaient de bons chrétiens, ils
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L’abbé. — Tu es rude, frère Claus, comme les
vrais
montagnards. Mais nous savons apprécier ta franchise. Nous admirons e
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Mais ils ne m’ont pas écouté. Haimo. — C’est
vrai
… Nicolas. — Je leur disais : Restez dans vos frontières, si vous
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Mais ils ne m’ont pas écouté. Haimo. — C’est
vrai
… Nicolas. — Et cette nuit, ils se préparent à la guerre, non pour
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ir leurs bourses d’or. Haimo. — Tout cela est
vrai
, frère Claus. Mais songe aux mères, à Dorothée, à tes enfants ! Toi s