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remière, dont elle serait un cas particulier. Les
vrais
mythes sont universels. L’histoire de Cendrillon peut être retrouvée
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e — se tait jusqu’à ce qu’il comprenne et juge le
vrai
sens de son trouble. Le peintre. Et alors ? Le mari. Et alors il se
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Le mari. C’est peut-être la preuve qu’elles sont
vraies
, qu’elles rendent possible la grandeur, alors que notre vie n’est qu’
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nnaît que des têtes de série, tandis que le héros
vrai
serait inimitable, hors série par définition, sans précédent et sans
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être, j’essaierais de convaincre le public que le
vrai
bonheur se trouve dans le salut. Le tour serait joué. X. Mais ceux q
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r pour rien.) Cette histoire ridicule, d’ailleurs
vraie
, se borne à décrire l’aspect psychologique d’une aventure cependant p
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ne espèce d’activité, purement descriptive il est
vrai
, solitaire, presque mécanique : il dresse un vaste catalogue de toute
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fin de son conte. Voilà qui peut enfin situer le
vrai
problème5. La créativité : c’est à quoi se ramène tout ce qui est vra
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uteur du mythe, ou de la Fable, plus profondément
vrais
que la vie (plus riches d’enseignements concrets, et d’invites à la m
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e serait-elle point un alibi ? Je ne parle que du
vrai
coup de foudre, celui qui est suivi d’incendie. Car pour ceux que l’o
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Ô toi que j’eusse aimée !… » Mais non, si c’était
vrai
, j’aurais su t’arrêter. Le monde entier en eût été changé à l’instant
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aclysme. » La lettre était signée « Maria ». « Un
vrai
drame du destin ! » fis-je après un moment. Le type même du Schicksal
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l’homme du plaisir qui parle ainsi. La volupté du
vrai
sensuel commence au-delà de ces moments que Don Juan fuit à peine att
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secrète déjà voisine de l’impuissance. Et il est
vrai
que celui qui cède à cet attrait superficiel que presque toutes les j
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i le posséderait à tout jamais, digne enfin de sa
vraie
Passion ! Il traque sans relâche tout ce qui bouge, tout ce qui s’arr
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Oui, c’est bien là le privilège d’un dieu. Et la
vraie
gloire. Qu’est-ce que l’incognito ? Il y a là quelqu’un qui a de la v
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instant de pur abandon — payé de sa mort, il est
vrai
, pour quelle indescriptible renaissance ! — préfère subir le supplice
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uoi suis-je donc ici à remuer ces choses ? Il est
vrai
que ce sont les seules dont l’intérêt grandisse avec le temps, si l’o
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s en secret qu’elle ne peut pas mourir, et il est
vrai
qu’elle ne possède pas de vie réelle, et ne peut donc penser sa fin,
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de la vie que vous possédez. Quel est votre plus
vrai
désir ? Les sages répondaient : — Nul ne possède vraiment que ce qu’i
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e ! Ils disent que j’y prends ma force. C’est pas
vrai
. Ça ne coule pas comme qui dirait de la terre vers moi, c’est le cont
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ejoindre vraiment dans l’Oubli. Ce n’était pas le
vrai
commencement de tout. Alors des prêtres leur ont dit que l’on pouvait