1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 — mais pour d’autres… Tout en lui, et d’abord son vrai nom qui est Colón, et son prénom Christophe, porteur du Christ — en v
2 u’on résout de problèmes, telle est, je crois, la vraie formule du Progrès, dans sa définition occidentale. Et l’on voit qu’e
2 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
3 pe n’a pas seulement rapproché la technique de sa vraie fin, qui est de libérer l’homme du travail servile, elle a pris consc
3 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
4 yeux, d’une manière encore bien imparfaite il est vrai , c’est ce que préconisaient en vain, depuis exactement six siècles et
5 a CED, en 1954. (Soit dit en passant : s’il était vrai que la peur de Staline et de l’impérialisme communiste ait été, comme
6 alisme communiste ait été, comme on le répète, le vrai moteur de notre union, son fédérateur par l’angoisse, la première ins
7 lui — mais ainsi le veut le pluralisme européen, vrai fondement de notre unité — plus d’une centaine d’instituts, associati
8 ’unité finale du genre humain, dans le sens de la vraie vocation de l’Europe. 21. Les citations des plans européens qu’on t
4 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
9 fois séculaires et modernes. Trois écoles, il est vrai , s’opposent encore quand il s’agit d’en venir à l’union politique. Ce
10 a hauteur de notre vocation universelle. S’il est vrai que la fonction crée l’organe, c’est de cette vocation elle-même que
11 raditionnels. Au nom de quelques-unes de nos plus vraies valeurs — la liberté, la dignité de la personne, l’égalité des peuple
12 meilleurs représentants, les plus conscients des vraies valeurs européennes, que nous envoyons outre-mer, mais des agents de
13 straits ! Je persiste à me sentir écrasé… » C’est vrai  ! C’est que vous ne vous sentez pas encore le citoyen d’une nation de
14 ive d’une politique mondiale de civilisation. Les vraies chances de l’Europe ne dépendent pas d’une juste prévision de ce que
5 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
15 ’encontre de Hegel, qui tenait l’Europe pour « la vraie fin de l’histoire », et d’Auguste Comte qui voyait en elle « le privi
16 nt social », ces philosophes croyaient servir nos vraies valeurs en nous mettant — vainement d’ailleurs — en garde contre notr