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t pour cynique, et ceux qui n’ont jamais connu la
vraie
passion s’étonneront de m’y voir consacrer tout un livre. Les uns dir
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mon dessein central ; et cela reste à mes yeux le
vrai
sujet, la vraie thèse de mon livre tel qu’il est devenu. Quant à l’ac
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tral ; et cela reste à mes yeux le vrai sujet, la
vraie
thèse de mon livre tel qu’il est devenu. Quant à l’actualité de ma re
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ience ne peut être tout à fait vain. Car s’il est
vrai
que les mutations du cœur se préparent et s’opèrent dans l’inconscien
5
il au même degré les qualités contraignantes d’un
vrai
mythe ? Cette question ne peut être esquivée. Elle nous porte au cœur
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mer d’un feu pur ; et qu’il est plus fort et plus
vrai
que le bonheur, la société et la morale. Il vit de la vie même du rom
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tive. Peut-on soutenir que la faute morale est le
vrai
sujet de la légende ? Le Tristan de Wagner par exemple, ne serait-il
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à la passion que l’on désire éprouver. Ainsi, le
vrai
sujet d’une œuvre est révélé par la nature des « trucs » que l’auteur
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tuité même des obstacles invoqués peut révéler le
vrai
sujet d’une œuvre, la vraie nature de la passion qu’elle met en jeu.
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voqués peut révéler le vrai sujet d’une œuvre, la
vraie
nature de la passion qu’elle met en jeu. Il faut sentir qu’ici tout e
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an tel que l’aiment les Occidentaux. Quel est le
vrai
sujet de la légende ? La séparation des amants ? Oui, mais au nom de
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r jusqu’à nous faire accéder, malgré nous, à la «
vraie
vie » dont parlent les poètes. Mais cette « vraie vie », c’est la vie
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vraie vie » dont parlent les poètes. Mais cette «
vraie
vie », c’est la vie impossible. Ce ciel aux nuées exaltées, crépuscul
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oïsme, n’annonce pas le Jour, mais la Nuit ! La «
vraie
vie est absente », dit Rimbaud. Elle n’est qu’un des noms de la Mort,
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n’est pas réciproque ne passe point pour un amour
vrai
. La grande trouvaille des poètes de l’Europe, ce qui les distingue av
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ou du moins, qu’ils en sont persuadés. Et il est
vrai
qu’ils sont, l’un envers l’autre, d’une fidélité exemplaire. Mais le
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ntradictions. Alors a commencé notre recherche du
vrai
sujet de la légende. Derrière la préférence accordée par l’auteur à
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rt, qui se révèle au terme de l’aventure comme la
vraie
fin, le désir désiré dès le début de la passion, la revanche sur le d
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ond avec notre goût de la guerre. Enfin, s’il est
vrai
que la passion, et le besoin de la passion, sont des aspects de notre
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ion de ces faits. Le plus bas nous paraît le plus
vrai
. C’est la superstition du temps, la manie de « ramener » le sublime à
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la vie présente que l’Esprit ressaisit. Dieu — le
vrai
Dieu — s’est fait homme, et vrai homme. En la personne de Jésus-Chris
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aisit. Dieu — le vrai Dieu — s’est fait homme, et
vrai
homme. En la personne de Jésus-Christ, les ténèbres vraiment ont « re
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énomène qu’ils passent leur vie à étudier. Il est
vrai
que Wechssler, dans un ouvrage fameux27, a cru pouvoir tout éclaircir
24
es vides de sens ». Excellent « matériel » il est
vrai
, pour un philologue qui se respecte et n’entend pas « solliciter » le
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en 1939, d’un ouvrage théologique (tardif il est
vrai
) le Livre des deux Principes 30 s’ajoutant à la restitution d’un Nouv
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ésire ? Et voici Guiraut de Bornheil qui prie la
vraie
42 lumière en attendant l’aube du jour terrestre : cette aube qui doi
27
deux par deux) : Roi glorieux, lumière et clarté
vraie
Puissant Dieu, Seigneur, s’il vous agrée À mon copain fidèle soit aid
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bien a-t-il trouvé au sein de la nuit la Lumière
vraie
dont il ne faut se séparer ? Beau doux copain, tant riche est ce séj
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» pour lui46, le troubadour souffrant de l’amour
vrai
? Un seul baiser, un seul regard, un seul salut. Jaufré Rudel, au te
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chant devine ce que chaque mot signifie. » Il est
vrai
qu’il ajoute — boutade ou précaution ? — « car moi-même je suis embar
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ont portées contre les troubadours — l’on sait au
vrai
peu de chose de leurs vies — nous rappellerons l’exemple de sectes gn
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la part spirituelle et angélique de l’homme, son
vrai
moi. Ce qui pourrait nous orienter vers une compréhension nouvelle de
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nt en criant : « Des preuves ! » ou « Comme c’est
vrai
! » ⁂ 1. La Révolution psychique du xiie siècle. — Une hérésie néo-m
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terniser le désir ».) C’est au comble de l’amour (
vrai
) et de sa « joie » que Jaufré Rudel se sent le plus éloigné de l’amou
35
t éclairer indirectement sur la nature de l’amour
vrai
ou du moins sur certains de ces aspects. Et tout d’abord, dit Marcabr
36
éation, selon le catharisme ?) Les adversaires du
vrai
Amour sont les « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteurs, luxur
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la me paraît vraisemblable, tout cela peut être «
vrai
» aux divers sens du mot, et simultanément, et de plusieurs manières.
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pénétration nous ferait voir au contraire que la
vraie
barbarie est dans la conception moderne du roman, photographie truqué
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, il n’est pas « pur ». Seuls les « purs » et les
vrais
« sauvages » comme Bohor, Perceval et Galaad parviendront à l’initiat
40
t les séparations), voilà la suprême vertu, et la
vraie
voie divinisante. Entre ces deux extrêmes illustrés par le mythe sur
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point à vrai dire capital. 42. L’emploi du mot «
vraie
» devant Dieu, Lumière, Foi, Église, est tenu par certains (dont Péla
42
ais il faut également relever que Peire Cardenal,
vrai
cathare, se montre sévère pour la « courtoisie » dans un poème où il
43
is nous savons que c’est la souffrance qui est le
vrai
but de la séparation voulue… Nous rejoignons alors la situation mysti
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igne matériel d’un processus de divinisation. Les
vrais
mystiques, tout au contraire, sont la prudence même, la rigueur même,
45
s éléments de l’homme fervent. » Pour Eckhart, la
vraie
voie mystique n’est pas celle qui, s’élevant d’un état de sentiment,
46
ité et non similitude. Par le Dieu vivant, il est
vrai
qu’il n’y a plus là aucune distinction. » Cette thèse, extraite des œ
47
n forment à elles deux la vérité. L’une n’est pas
vraie
sans l’autre, et ne se peut concevoir que par rapport à l’autre. Affi
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réjugé consiste à croire que le physique est plus
vrai
et plus réel que le spirituel ; qu’il est donc à la base de tout ; qu
49
Agapè qui sanctifie la créature, ignorant donc la
vraie
nature de ce qu’ils tiennent pour le péché, ils courent le risque de
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blir, je m’en tiendrai à un jugement certainement
vrai
pour la plupart des cas : dès le xive siècle, la littérature courtoi
51
ite courtoise — c’est l’amour de la femme idéale,
vraie
femme déjà mais femme inaccessible dans son jardin givré d’allégories
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end mieux qu’ailleurs chez les poètes italiens le
vrai
mystère des troubadours, de même que c’est au crépuscule que se révèl
53
xiiie siècle, exprimant dans une petite fable la
vraie
nature de l’amour qu’il chante et le danger de s’arrêter aux formes t
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rarque. Et ce qu’il y a de mieux, c’est que c’est
vrai
… Qu’appelle-t-on un homme simplement amoureux ? Rien d’analogue. Lui
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tourne autour de toi immortel et paré ! S’il est
vrai
qu’ici-bas tant joyeux de son mal votre désir s’apaise par un coup d’
56
cte. Chaque moment de cette progression vers le «
vrai
» se trouve lié, plus étroitement qu’au précédent, à un moment corres
57
du xviie siècle qui inventa le happy ending. Le
vrai
roman courtois débouchait dans la mort, s’évanouissait dans une exalt
58
les ruses du mythe, nous ferait bien voir que la
vraie
volonté du personnage est exactement opposée à ces hautaines déclarat
59
faveur d’une crise révélant à Racine lui-même la
vraie
nature de son délire. Phèdre est un moment décisif non seulement dans
60
e la Champmeslé, et les premières atteintes d’une
vraie
foi vont le pousser comme malgré lui, et plus qu’il n’espérait, aux e
61
ême ; les faiblesses de l’amour y passent pour de
vraies
faiblesses ; les passions n’y sont présentées aux yeux que pour démon
62
is pour toi des sentiments plus paisibles, il est
vrai
, mais plus affectueux et de plus de différentes espèces… Les douceurs
63
ilence ! ceci paraît exalté, et pourtant c’est si
vrai
!) Voilà le seul accomplissement. Mais nous avons des devoirs sacrés
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définition de l’amour-par-essence-impossible, le
vrai
amour qui repousse tout objet pour s’élancer à l’infini. C’est, dit-i
65
lusions désolées. Certes, Chénier décrit comme un
vrai
romantique : L’enthousiasme errant, fils de la belle Nuit. Et la cé
66
ui conclut sur une épigramme : « Et encore est-il
vrai
que bien des hommes attachent leur destinée à des choses d’aussi peu
67
un regard désabusé, cesseront bientôt d’être les
vrais
obstacles. Et le mythe, appauvri de ses formes extérieures, deviendra
68
par l’émotion qu’elles excitent. » Voilà qui est
vrai
: nous aimons la douleur, et le bonheur nous ennuie un peu… Cela vous
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de série, le théâtre à succès, enfin le film. Le
vrai
tragique de notre époque est diffus dans la médiocrité. Le vrai série
70
de notre époque est diffus dans la médiocrité. Le
vrai
sérieux dès lors, implique la connaissance, le rejet ou l’acceptation
71
ané du mythe. Celui-ci cesse d’ailleurs d’être un
vrai
mythe dès qu’il se trouve privé de son cadre sacral, et que le secret
72
cières et non plus religieuses ou morales. À dire
vrai
, les seuls écarts considérés comme intolérables sont ceux qui entraîn
73
e renversement des rôles : l’instinct devenant le
vrai
support d’une rhétorique dont les figures lui prêtent désormais un se
74
urifier. Vos tabous sont des sacrilèges contre la
vraie
divinité, qui est la Vie. Et la vie, c’est l’instinct libéré de l’esp
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les situer dans la logique du mythe, qui est mon
vrai
sujet. On peut penser d’ailleurs que l’examen des formes n’est pas mo
76
pirituelle de la société médiévale !) Or s’il est
vrai
que cette morale courtoise ne parvint guère à transformer les mœurs p
77
its ne laissent pas de doute sur ce qui flatte la
vraie
passion de l’homme du Moyen Âge. Gloire du sang ! Mais le xviiie siè
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on, un amour narcissiste du Soi collectif. Il est
vrai
que sa relation avec autrui s’avoue rarement comme un amour : presque
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vorce, et il l’épousera ! Avec elle, ce sera la «
vraie
vie », ce sera l’épanouissement de ce Tristan qu’il porte en soi comm
80
ue. (Pas même la couronne s’il est roi.) Voilà le
vrai
« mariage d’amour » moderne : le mariage avec la passion ! Mais aussi
81
passion signifiait « vivre » pour Tristan, car la
vraie
vie qu’il appelait, c’était la mort transfigurante. Mais nous avons p
82
ns à remplir par les candidats au mariage — cette
vraie
« coexistence » durable, pacifique, et mutuellement éducative. On pou
83
e peu d’effet dans un monde qui a gardé, sinon la
vraie
passion, du moins la nostalgie de la passion, devenue congénitale à l
84
lui qui la commet. Tandis que du point de vue des
vrais
cathares, nous l’avons vu, la véritable faute, c’est d’avoir « consom
85
⁂ Tout ce qu’on peut dire contre le mariage est
vrai
, par conséquent doit être dit, soit du point de vue des romantiques —
86
comme si l’on ne croyait pas — alors que le seul
vrai
problème est de savoir comment Lui obéir.) Car la fidélité est sans r
87
iaisons », et de tous ces Tristans qui ne sont au
vrai
que des Don Juan au ralenti.) Où est alors la différence ? Et le mari
88
qui s’ignore, naturellement, et qui croit être un
vrai
amour pour l’autre. L’analyse des légendes courtoises nous a révélé q
89
mariage, c’est à l’autre, en même temps qu’à son
vrai
moi, que celui qui aime voue sa fidélité. Et tandis que la fidélité d
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on obsession de l’amour contrarié. Il serait plus
vrai
de dire après Benedetto Croce que « le mariage est le tombeau de l’am
91
anisme et le secret de notre dynamisme. Et il est
vrai
que ces trois termes : christianisme, passion, dynamisme, corresponde
92
t la tentation orientale de l’Occident ? S’il est
vrai
qu’elle ne s’est développée dans notre histoire et nos cultures qu’à
93
offre une alliance sans fin, initiant un dialogue
vrai
. Alors l’angoisse comblée par la réponse, la nostalgie comblée par la
94
ions religieuses les plus insistantes : Alors la
vraie
Minne La fougueuse déesse Le pénétra de ses ardeurs Et son cœur brûla
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de Poitiers : c’est le type même du « petit fait
vrai
», incontestable et dénué d’intérêt en l’occurrence. Qui donc, hormis
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xtérieur, et non sur ses données psychiques ou sa
vraie
foi, voilà qui est bel et bon, mais gardez-le pour vous. Ne brûlez pa
97
i comment le professeur Henri I. Marrou (c’est le
vrai
nom de Davenson) résume dans son précieux petit livre intitulé Les Tr
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je n’hésite pas à ajouter Peire Cardenal.) Il est
vrai
que Nelli admet qu’on chercherait en vain dans leurs œuvres « la moin
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la preuve qu’ils ne s’aiment pas de fin’amors, de
vrai
amour. Peut-être croyait-on, comme Hindous et Chinois, que le désir e
100
lus tard des fraticelli… À ces vices il oppose la
vraie
piété, la pauvreté, l’ascèse, le détachement. Des foules se mettent à
101
assai imposé par la dame comme épreuve de l’amour
vrai
, tout cela « pour le bien de nos âmes », disait Robert ; « pour rafra
102
s de Spoerri, je voudrais ajouter ceci : s’il est
vrai
que ce qu’il nomme très bien « la magie opératoire des formes liturgi
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rces alléguées expressément par un auteur. Or les
vraies
sources en général sont inconscientes, ou refoulées, ou délibérément
104
ion peut renaître au sein du mariage : « S’il est
vrai
que la passion cherche l’inaccessible, et s’il est vrai que l’Autre e
105
ue la passion cherche l’inaccessible, et s’il est
vrai
que l’Autre en tant que tel reste aux yeux d’un amour exigeant le mys
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Peire Cardenal, Vera vergena Maria : Marie est la
vraie
Vierge, née « en Syrie », mais devenue la Reine assise à la droite de