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qu’une confusion générale des esprits quant à la
vraie
nature de l’Europe dont ils parlent. Cette « Europe » ne serait-elle
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ou presque », a écrit Paul Valéry. Voilà qui est
vrai
, mais dans ce « tout » il y a peut-être autant de mal que de bien. La
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et la liberté personnelle. Il n’en est pas moins
vrai
que la civilisation née en Europe a fait le tour du monde, qu’elle a
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uissance ou le bonheur d’un peuple, mais s’il est
vrai
que nous sommes par trop enclins à juger selon les quantités, cet exe
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x constants, a doublé dans la Communauté. (Il est
vrai
que personne ne peut dire avec certitude ce qui serait advenu si la C
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es sont apparues lorsqu’il s’est agi de bâtir une
vraie
politique industrielle, notamment dans les secteurs de pointe : en dé
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as un organe fédéral. C’est dire la déception des
vrais
européistes, des fédéralistes, partisans d’une authentique délégation
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tiers-monde, l’idée nationaliste. Et il est bien
vrai
que les foules ne scandent pas des slogans européens. Il n’en reste p