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ouvre et bâtit « un nouvel ordre, un centre plus “
vrai
” autour duquel réalités, cosmiques, philosophiques, religieuses, poli
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: d’abord historiquement puisqu’elles ont été de
vraies
communes ; ensuite, il se trouve qu’elles pourraient être le lieu où
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indiscutée à la liberté toujours aventureuse. Le
vrai
sens de l’action d’éduquer, dans notre ère moderne, devient conforme
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ite que pour elles. Les agences seraient donc nos
vrais
maîtres ? C’est trop dire, car elles sont irresponsables. Je ne soupç
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. 23 janvier 1969 C’est dans l’amour du prochain,
vrai
fondement de la communauté nouvelle — amour du prochain qui n’est pas
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de nos fausses souverainetés, pour préserver nos
vraies
diversités — créer un pouvoir fédéral pour la sauvegarde de nos auton
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notre siècle. Bien entendu, les deux choses sont
vraies
, elles ne sont pas du tout exclusives l’une de l’autre. Ce qui m’inté
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aussi contre l’unité vivante de l’Europe. Il est
vrai
que beaucoup des traditions qui ont été ainsi effacées par l’effort,
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0 Les États-nations sont encore efficaces, il est
vrai
, pour gêner ce qu’il faudrait aider : les échanges culturels, les mou
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mise en question du sens même de nos vies et des
vrais
buts de nos activités communautaires et personnelles. Si sérieux que
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nt pas convaincus par des avantages matériels. La
vraie
réponse à la contestation de la jeunesse d’aujourd’hui ne peut évidem
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une définition du fédéralisme qui serait la seule
vraie
. Il y a d’une part, des expériences déjà réalisées dans certaines con
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aux Provinces-Unies de Hollande pour réaliser une
vraie
fédération, c’était une véritable diversité. Et ce qui a le plus manq
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lus l’instrument d’une action collective, mais le
vrai
sujet de son action (au sens philosophique), l’agent libre de son pro
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es sont les hommes politiques qui déclarent leurs
vraies
finalités. La plupart ne déclarent que ce qu’on attend d’eux, dans le
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alors qu’il est clair que c’est l’inverse qui est
vrai
. 2. Finalités et monde moderne 29 octobre 1971 Il y a quelque c
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z pour les deux à la fois, dit-on, qui révèle les
vraies
fins que l’on suit. Voilà le lieu bien délimité, le champ clos de la
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ités effectivement poursuivies qui déterminent le
vrai
visage d’une politique : loin de se cantonner à la vie politicienne,
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isée ; pour l’autre que j’appelle fédéralisme, la
vraie
finalité de la société, c’est l’homme, c’est la liberté des personnes
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e publique et politique d’aujourd’hui, c’est plus
vrai
que jamais. Le rôle de la parole est infiniment plus grand au xxe si
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ières (comme nos États-nations). La région est la
vraie
unité socioéconomique de l’Europe d’aujourd’hui ; on l’étudie surtout
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février 1967 Les régions sont, en puissance, les
vraies
autonomies de la fin du xxe et du xxie siècle. La notion d’auto-nom
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ux divisions nationales, les régions naissent des
vraies
diversités et les favorisent. Au-delà des systèmes hypocrites et inef
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térêt, la fédération représente le principe de la
vraie
communauté, libre association conclue au nom d’un idéal commun qui la
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omme découvrant un nouvel ordre, un centre plus «
vrai
» autour duquel réalités cosmiques, philosophiques, religieuses, poli
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érarchie des valeurs consisterait à dire : est-il
vrai
que le but de l’humanité consiste à élever continuellement le niveau