1 ient dangereusement trotskiste. Ils apportent une véritable coquetterie à souligner leur conformisme et leur touchante orthodoxie

2 té de sarcasmes qu’ils n’ont pas inventés, car la véritable invective n’est qu’une forme polémique de la générosité. Hélas, falla

3 numéro à la fois la précédence et la primauté du véritable réalisme révolutionnaire. Cordialement à vous, Denis de Rougemont.

4 ement, parmi certains groupes d’intellectuels, un véritable romantisme du chambardement, de l’émeute et du sang versé. Contre lui

5 vention faussement « réaliste » qui trompe sur la véritable nature de la pensée, et sur ses droits. Sans théorie révolutionnaire

6 ent de plan, qui seul constituerait la Révolution véritable . Contre cette illusion rationaliste-idéaliste de la synthèse, qui jus

7 e, telle est, pour Aron et Dandieu, la Révolution véritable . Cela ne signifie point que sa violence se dégrade nécessairement en

8 déshumaniser l’homme, par ignorance de sa nature véritable . Certes, nous sommes dans l’histoire, mais non pas comme la subissant

9 onaliste. Il y a dans le nationalisme moderne une véritable idolâtrie. La passion intolérante que manifestent ses adeptes, le car

10 . Lieu commun pour cette génération : la violence véritable est celle des constructeurs. Le premier manifeste publié par l’Ordre