1 ant de faire l’Europe » ; comment y parvenir ? Le véritable centre de gravité de ma théorie est le mythe de l’« État-nation », te

2 c’est l’écologie, de nos jours, qui constitue la véritable politique. Des stages sont consacrés aussi à l’étude des stéréotypes

3 s constantes de toute votre œuvre, vous lancez un véritable cri d’alarme : selon vous, l’heure n’est plus de savoir si on veut re

4 Européens telle qu’elle permettra d’envisager une véritable politique de production, qui tienne compte de certains buts généraux

5 à l’Idée suisse, j’entends par « Idée suisse » le véritable fédéralisme, qui n’est d’ailleurs pas toujours appliqué en Suisse. Ce

6 évolutionnaire ». Et il concluait : Fidèles à la véritable tradition française, nous nous appuyons à la fois sur le sentiment pa

7 autonomie régionale était dans le droit fil de la véritable vocation française et de son mouvement libérateur. C’est lui qui repr

8 t libérateur. C’est lui qui représentait alors la véritable mission de la France, contre cette démission du spirituel et ce refus

9 es nuages. La culture des Européens, qui est leur véritable unité, est à la fois la somme et le produit complexe de nombreuses so

10 cation originale. Rien de plus caractéristique du véritable Européen que sa volonté de n’être pas comme son voisin, de ne ressemb

11 opéens » qui demandait notamment la création d’un véritable Conseil de l’Europe, issu des « forces vives de toutes les nations ».

12 on n’achève pas dans les années qui viennent, une véritable mutation de l’enseignement. Car nos États sont gouvernés aujourd’hui

13 stitution, au même titre que tout État-nation. La véritable orthodoxie, la « voie droite », ne saurait être que la voie personnel

14 oire nos romanciers. Ils savent bien que le roman véritable n’est jamais qu’une version renouvelée de l’archétype de Tristan et I

15 s un au-delà, et qui aurait été, sur la Terre, le véritable objet du désir de Tristan, sa princesse lointaine et son « amour de l