1 us parlais, et voilà la conscience de notre force véritable . Si nous avons le droit et le devoir de rester neutres, ce n’est pas

2 utalité, mais la violence spirituelle, qui est la véritable charité. Violence contre nous-mêmes d’abord. Aucune doctrine ne peut

3 tiques, apparemment contradictoires, ont pour but véritable — et souvent inconscient — de remplacer le christianisme défaillant p

4 ürrer, historien du canton d’Unterwald. C’est une véritable somme critique de tout ce que la tradition nous a livré concernant le

5 pères, Zwingli réplique que les réformés sont les véritables disciples du solitaire, puisqu’ils ont gardé la foi la plus ancienne,

6 porter remède. Car qui peut fixer aujourd’hui le véritable sens des mots ? En d’autres temps, c’étaient l’Église et la théologie

7 qu’elles ont cessé d’être ou n’ont jamais été de véritables communautés. Voilà le fait qui me paraît le plus grave, étant donné l

8 ur que nos paroisses redeviennent des communautés véritables . Mais il est trois de ces conditions, entre vingt autres8, qui me par

9 nous ignorons le sens et la portée de la liturgie véritable . Celle-ci suppose des formes fixes et invariables, connues de tous, e

10 à des cérémonies hitlériennes qui étaient déjà de véritables liturgies païennes. Ces abus manifestes ne doivent pas nous faire nég

11 ’on essaie de comprendre un peu mieux les raisons véritables de ce statut spécial, qui ne résulte pas d’une loi éternelle de la na