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tre temps qui revêt une actualité7 et une réalité
véritables
du fait de la crise. Mais cet affleurement mystérieux de la forme myt
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ces crises où l’être spirituel découvre sa forme
véritable
. Et si, comme chez Goethe, c’est une forme mystique, celle du terribl
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ment de l’histoire ». Nous avons affaire ici à un
véritable
mysticisme de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme historiqu
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s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un
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acte de présence à la misère du siècle, assez nouveau parmi les intel
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foi, les marxistes. Mais ce qu’il décrit avec une
véritable
puissance, c’est l’aboutissement du marxisme : l’isolement cosmique d
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le sens de l’Incarnation, en même temps que de la
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transcendance. C’est là le point de la rupture avec tout humanisme im
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ttement dans ce tome IV au profit de la recherche
véritable
, des imprudences passionnées, des « essais » ou des hardiesses simpli
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ur la vérité, p. 57. Ou encore : « La supériorité
véritable
produit elle-même la provision de force qui cause sa perte. » Ibid.,
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lle qu’est l’attente d’on ne sait quoi. Condition
véritable
de l’homme : il est celui qui agit dans l’attente. Il attend des révé
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er, si l’on pouvait. Le principe de toute culture
véritable
n’est-il pas cette commune mesure, sinon de raisons formulables, du m
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bien entendu, cela ferait tout rater ; il faut un
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non-espoir). Équivalent, pour la façon de traiter la vie, de la médec
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ù se font les « carrières » sans sortir de la vie
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; et qu’on peut vivre de très peu sans cesser de vivre son plein. Voi
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ne sait rien de précis, ni l’enjeu ni les causes
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. Il ne reste que l’obscure certitude, angoissante, que cette guerre «
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a folie d’un Kierkegaard. Alors éclate le conflit
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entre l’humanisme et la foi, le scandale au sens paulinien, tout ce q
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e plus tard les soufis, et comme le christianisme
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, ne demande pas d’abord ce qu’est l’homme, mais qui es-tu ? Toute réa
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crifice diffère du suicide — la nature de l’amour
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l’explique seule. « Personne n’a un plus grand amour que de donner sa
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it — comme l’a si bien vu Kierkegaard. Tout amour
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procède du vrai moi et se dirige vers le vrai moi de l’autre. Mais il
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phénoménal, tandis qu’ils participent du même Soi
véritable
, qui seul importe. « Surmonte le mal par le bien », dit le Bouddha. «