1 de la baptiser chômage. Le chômage, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du Progrès, dans un monde dont le matér

2 e chômage, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du Progrès, dans un monde dont le matérialisme foncier ne pourra

3 n au contraire en figure la plénitude, ce travail véritable a fait place dans les desseins de l’homme au labeur qu’on mesure et t

4 r aux racines vives du désordre. La seule rupture véritable , efficace, est celle que nous opérons au cœur même du système régnant

5 r. Trop ont un intérêt précis à confondre l’ordre véritable avec le statu quo. L’esprit n’est pas non plus pour nous cette forte

6 tures, parfois comiques, parfois tragiques, de la véritable révolution où s’engage l’essentiel. Le rôle de l’homme sur la terre n

7 a Staline, nous paraissent également attenter aux véritables valeurs spirituelles. Une révolution ne consiste pas enfin à développ

8 ni l’utopie ! disent-ils. Entendons — et c’est la véritable définition du centrisme — qu’ils se tiennent à égale distance de la p

9 l’égalisation rendait impossible toute fraternité véritable . Elle introduisait en effet, dans notre monde tel qu’il est, un princ

10 stitutions économiques par exemple. Pour nous, la véritable cellule sociale, c’est la personne, et non point la famille, qui lui

11 dre son prestige et sa valeur d’appel. L’héroïsme véritable , c’est la pointe extrême de la vocation, c’est-à-dire de la tendance

12 propose ou que l’État veut lui imposer. Le héros véritable , la personne dans sa pureté, c’est l’obstacle irréductible que rencon

13 répondre. Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulter de l’affaiblissement systématique des antagonisme

14 e sur l’Éducation, je retiens cette phrase : « La véritable culture ne s’acquiert qu’à partir du moment où l’homme entre en conta

15 seules les révolutions font aboutir les réformes véritables . Et qu’on n’améliore pas la peste. Ces jeunes gens manquent d’ambitio

16 alisation » infinie de l’humanité. Principe de la véritable « démocratie » culturelle : une élite dont le sens et l’honneur soit

17 d’éducateurs, et ceci pour qu’elle s’institue en véritable « caste dirigeante ». Or il est clair que le pouvoir, s’il est réel,

18 l’Assemblée du Clergé. Mais de fait, le triomphe véritable est celui de l’État, plus encore que celui du pape. C’est l’évolution

19 n grand nombre d’esprits à mieux saisir la portée véritable de nos thèses constructives30. Cette dernière remarque est importante

20 brutalité systématique et inhumaine, qui sont les véritables responsables de notre décadence culturelle, — si toutefois l’on n’en

21 sieurs années, ne se soucient pas forcément de la véritable volonté de la nation… Pour moi, ajoutait-il, je viens faire appel à v

22 re française sont deux trahisons qualifiées de la véritable démocratie, définie comme le gouvernement du peuple par lui-même. Ce

23 bien forcé d’avouer qu’il n’y a plus en France de véritable idéologie politique. Ce qu’on nous offre sous ce nom n’est qu’un lame

24 itique reste quelque chose d’extérieur à son être véritable . D’où la distinction bien connue entre la vie publique et la vie priv

25 vers des buts que l’esprit imagine. La politique véritable , de même que toute conduite personnelle, supposera toujours à la fois

26 lisme, plutôt qu’il ne l’a continué. La question véritable n’est pas là. Elle doit se poser dans ces termes : un chef socialiste

27 ses55, se reproduit dans le destin individuel des véritables hommes d’action de la gauche. Qu’on se rappelle Noske, député sociali

28 ncs impayée par la reine de Madagascar qui est la véritable origine de l’expédition de 1895). L’emprise étatique se faisant trop

29 psychologique au xixe siècle a pu tromper sur sa véritable signification. 72. Qu’il suffise de rappeler pour mémoire le rôle de