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constituent bel et bien les germes d’une société
véritable
. Elles ont leur organisation sociale, leurs chefs locaux, leurs hiéra
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des raisons politiques, mais pour sauver l’Église
véritable
, car, écrit-il, « si personne n’allait au-devant pour rembarrer ces d
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vivantes, autonomes et solidaires. Elles ont leur
véritable
unité en Christ, et dans la communion des saints. Ici-bas, l’Église u
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ple ! C’est le contraire, le mot l’indique, d’une
véritable
civilisation. Qu’allons-nous opposer à cela ? Tout simplement, la for
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ituelles de l’État. Ces personnes-là, ce sont ses
véritables
adversaires, les seuls sérieux, et il le sait ! Si Niemöller est dans
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t dans la pleine virulence du terme, redevenir de
véritables
protestants. Un véritable protestant, les faits le prouvent, sera tou
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du terme, redevenir de véritables protestants. Un
véritable
protestant, les faits le prouvent, sera toujours l’adversaire le plus
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uand nous aurons repris conscience de notre force
véritable
, celle qui ne vient pas de nous, de nos « personnalités », mais de no