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ovoque à se dépasser, et manifeste ainsi son être
véritable
, l’intention de son existence. La magie et le germanisme surmontés, o
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ces crises où l’être spirituel découvre sa forme
véritable
. Si, comme chez Goethe, c’est une forme mystique, celle du terrible «
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a condition nécessaire et suffisante de tout acte
véritable
, de toute marche, de toute création, de toute victoire sur la Nécessi
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ise à la portée de « la masse », alors que la foi
véritable
est celle du solitaire que plus rien ne soutient, hors la foi ? « Cel
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bstacle décisif à la prédication du christianisme
véritable
? Épuisé par ce long effort démesuré contre son temps, accablé par la
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tifié par l’Esprit et la Bible, et constituant la
véritable
« action » de l’homme « entre les mains de Dieu. » Tels sont les thèm
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mament, c’est, à vrai dire, le parti pris de tout
véritable
poète, mais c’est aussi ce qu’une certaine critique ne veut point par
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récision technique. Mais ce qu’il décrit avec une
véritable
puissance, c’est l’aboutissement du marxisme : l’isolement cosmique d
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eux qui la vécurent. Et qu’elle n’eut d’actualité
véritable
que par et dans l’œuvre de Proust, par exemple, ou, à un tout autre,