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t tort, parce qu’ils n’ont qu’à moitié raison. Le
véritable
fédéralisme ne consiste ni dans la seule union des cantons, ni dans l
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mment rappeler aux deux partis que le fédéralisme
véritable
n’est ni dans l’une ni dans l’autre de ces tendances, mais bien dans
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ie conquise, est résulté la constitution de 1848,
véritable
base de l’état fédératif moderne. C’est pourquoi la Suisse ne verra j
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qu’à l’unification forcée, caricature de l’union
véritable
. Deuxième principe. — Le fédéralisme ne peut naître que du renonce
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e. Cette antithèse domine le siècle. Elle est son
véritable
drame. Toutes les autres pâlissent devant elle, sont secondaires ou i