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e les deux vertus majeures qui dénotent une union
véritable
: à savoir sa fécondité et sa durée. Une sagesse supérieure et vraime
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ouver d’exutoire que dans l’aventure mystique. Le
véritable
individu, au Moyen Âge, c’est Maître Eckhart, de même qu’en Inde c’es
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sentielle, car en elle seule se fonde la personne
véritable
, qui assume l’individu mais aussi le transcende, le reliant à l’espri
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des mines et paysans deviennent autant de castes
véritables
. On n’y entre plus que par sa naissance, et l’on ne peut en sortir qu
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é, c’est-à-dire cet instinct religieux que la foi
véritable
transcende. Elles mesurent la dérive de l’homme occidental quand il c
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ent de Dieu. […] Dieu n’est pas l’objet d’une foi
véritable
s’il ne peut pas supporter d’être mis en question par les faits ; et
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lors seulement que la technique devient un danger
véritable
; non pas elle, il est vrai, mais l’homme qui parle ainsi. Ernst Jüng
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, ou mieux : l’organe de sensibilité à la liberté
véritable
, restant le moi distinct, ou la personne. Certes, on peut assigner d’
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anger qui apparaît d’un côté n’est plus un risque
véritable
, s’il met un point final au développement humain et ne permet plus de
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et par la tentation de cette même technique, à un
véritable
chantage : ou bien ses peuples meurent parce qu’ils s’accroissent tro
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des sages de l’Est conduit-il au salut, à la paix
véritable
de l’âme ? C’est la question de la preuve qui se pose ici. Confronté