1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 e les deux vertus majeures qui dénotent une union véritable  : à savoir sa fécondité et sa durée. Une sagesse supérieure et vraime
2 ouver d’exutoire que dans l’aventure mystique. Le véritable individu, au Moyen Âge, c’est Maître Eckhart, de même qu’en Inde c’es
3 sentielle, car en elle seule se fonde la personne véritable , qui assume l’individu mais aussi le transcende, le reliant à l’espri
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
4 des mines et paysans deviennent autant de castes véritables . On n’y entre plus que par sa naissance, et l’on ne peut en sortir qu
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
5 é, c’est-à-dire cet instinct religieux que la foi véritable transcende. Elles mesurent la dérive de l’homme occidental quand il c
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
6 ent de Dieu. […] Dieu n’est pas l’objet d’une foi véritable s’il ne peut pas supporter d’être mis en question par les faits ; et
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
7 lors seulement que la technique devient un danger véritable  ; non pas elle, il est vrai, mais l’homme qui parle ainsi. Ernst Jüng
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
8 , ou mieux : l’organe de sensibilité à la liberté véritable , restant le moi distinct, ou la personne. Certes, on peut assigner d’
9 anger qui apparaît d’un côté n’est plus un risque véritable , s’il met un point final au développement humain et ne permet plus de
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
10 et par la tentation de cette même technique, à un véritable chantage : ou bien ses peuples meurent parce qu’ils s’accroissent tro
11 des sages de l’Est conduit-il au salut, à la paix véritable de l’âme ? C’est la question de la preuve qui se pose ici. Confronté