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lus est enfermé dans un corps vil ; — l’érotisme,
véritable
invention du xiie siècle, a donc toutes chances de correspondre à de
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vec l’inceste), il n’y aurait ni passion ni roman
véritables
, au sens « tristanien » de ces termes. Car il manquerait entre les de
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yeux de Kierkegaard sur l’absolu du christianisme
véritable
et lui permit de découvrir cette vérité terrible : le prétendu christ
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on en prison, et puis enfin — car c’est bien d’un
véritable
témoin de la vérité que nous parle le professeur Martensen — et puis
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in, que la mission reçue par Hamlet n’est pas une
véritable
vocation, en ce sens qu’elle ne présente pas le caractère d’incertitu
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fille. Don Juan est convaincu que « l’expression
véritable
de la femme consiste en sa volonté d’être séduite… C’est pourquoi ell
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, créant ainsi la possibilité d’une compréhension
véritable
. Mais cela reste théorique. On le comprendra par le détour de la théo
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ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un
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chevalier. Tristan, mélancolique et courageux, n’abdique au contraire
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, exige une prise de conscience objective de leur
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nature, et des fins vers lesquelles nous conduisent leurs structures.
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ie. Psychose ou spiritualité ? Faiblesse ou force
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? Seule une estimation bien assurée de notre vie dans ce monde-ci, et
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n, l’amour ne sait plus où se prendre. Tout amour
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est relation réciproque. Cette relation s’établit tout d’abord à l’in
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plus pudique que j’aie jamais entendu : — Dans le
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amour, c’est l’âme qui enveloppe le corps. » (Par-delà le bien et le
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l ajoute aussitôt que le silence est pour lui une
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volupté — pendant des heures, chaque soir — et que c’est bien cette v
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e plus tard les soufis, et comme le christianisme
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, ne demande pas d’abord ce qu’est l’homme, mais qui es-tu ? Toute réa
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crifice diffère du suicide — la nature de l’amour
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l’explique seule. « Personne n’a un plus grand amour que de donner sa
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it — comme l’a si bien vu Kierkegaard. Tout amour
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procède du vrai moi et se dirige vers le vrai moi de l’autre. Mais il
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phénoménal, tandis qu’ils participent du même Soi
véritable
, qui seul importe. « Surmonte le mal par le bien », dit le Bouddha. «
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iverselle. Autrement dit : l’éducation a pour fin
véritable
la personne, mais dans la mesure où la personne se réalise, devient d