1
ir un grand progrès, s’il est vrai que le progrès
véritable
réside dans la clarification des vrais dilemmes humains, et dans la p
2
ribuer ? Sommes-nous en présence des germes d’une
véritable
renaissance liturgique, ou seulement de reviviscences sporadiques, ac
3
nt, beaucoup l’ont dit : notre siècle n’a plus de
véritables
loci communes. Il a perdu cette commune mesure spirituelle qui confér
4
isoirement efficaces. C’est le parti qui dicte le
véritable
sens des mots, recréant ainsi une apparence d’ordre. C’est le parti q
5
qui fit d’elle dès son apparition la seule rivale
véritable
et la seule remplaçante possible de la religion officielle de l’Empir
6
ois que le but (conscient ou non) de tout artiste
véritable
, c’est de composer des objets significatifs ; c’est donc de signifier
7
u moins ces deux traits importants de la fidélité
véritable
: la durée « pour la vie » et le sens d’un destin assumé (ou subi) «
8
ce sont ces valeurs positives qui constituent le
véritable
style et l’excellence du siècle, et peut-être même son héroïsme. 2
9
amertume salutaire. C’est que la seule espérance
véritable
et certaine n’a plus été prêchée au monde avec une force d’attaque as
10
que grossière dissipée en principe, au lieu de la
véritable
décision. Certains, frappés comme je le suis, par les ressemblances f
11
ui est le réaliste. (J’entends bien : le chrétien
véritable
…) Le marxiste dit : « Je ne table pas sur une foi dans l’invisible, m
12
constituent bel et bien les germes d’une société
véritable
. Elles ont leur organisation sociale, leurs chefs locaux, leurs hiéra
13
notre liberté. J’imagine au contraire le progrès
véritable
dans l’accroissement du risque humain… Mais il y a trop à dire, et d’
14
rogrès ne serait en tout cas pas le christianisme
véritable
, et que l’homme qui se sentirait spirituellement « apaisé » par cette
15
cette réussite matérielle ne serait plus un homme
véritable
. On m’opposera sans doute les utopies de George Orwell et d’Aldous Hu
16
Rien de commun avec l’Église primitive. Le danger
véritable
n’est pas là. Mais si nous admettons que le phénomène de la « mort de