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xemple, depuis la Grèce antique, d’une démocratie
véritable
— « gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple », selon l
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e. Seul, il est pour nous, dans notre langage, la
véritable
antithèse de l’étranger. C’est lui qui nous imprime un cachet ineffaç
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res décennies, l’élan donné par le parti radical,
véritable
auteur de la Constitution, se propage à tout le pays. Les institution
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s doctrine trop clairement formulée, constitue le
véritable
apport de la Suisse comme telle à l’Europe. Encore, les Suisses la co
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s seulement qu’il sera un citoyen suisse. »56 La
véritable
cellule de base de la Suisse est donc la commune : c’est par elle que
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ennes, et non pas sa constitution qui est l’objet
véritable
de son patriotisme. La Confédération, au contraire, plus lointaine, p
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ois, voyait déjà, dans cette même diversité, « la
véritable
école de l’amitié » : Qu’il est donc réjouissant que tous les Suisse
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ité — Dieu veuille nous la conserver ! — voilà la
véritable
école de l’amitié ! Et quand une même appartenance politique vient à
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ge. Comme il n’y a pas de place en Suisse pour un
véritable
voyage, on s’en tire en coupant le milieu, ce remplissage de kilomètr
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les dimensions mêmes de leur État au classicisme
véritable
, celui qui exprime le plus en disant le moins, et qui témoigne de l’i
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irions aujourd’hui : contre les États-nations. La
véritable
unité de base de la culture étant de la sorte identifiée, la question
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t un pur Vaudois, séparatiste. (Car c’était là le
véritable
sens de son fédéralisme étroit.) Cette erreur l’a peut-être soutenu e
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, mais très suisse en cela que la Bible est notre
véritable
Antiquité, comme l’a bien vu Ramuz. Avec « La Belle de Moudon », char
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s, c’est-à-dire des ressortissants de petits pays
véritables
pourvus de toute espèce de caractéristiques authentiques… Ici, en Sui
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la pensée d’un Karl Barth qu’elle témoigne de sa
véritable
nature ; ou encore, d’une manière plus diffuse et collective, par un
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mot… Le petit État ne possède rien d’autre que la
véritable
et réelle liberté par laquelle il compense pleinement les énormes ava
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sociétés possibles, car il n’y a plus de societas
véritable
quand les socii cessent de se sentir tels. Seule l’idéologie et la po
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discours sur « la Suisse » n’aura-t-il pour objet
véritable
qu’un certain mode d’aménagement de l’Europe ? Il n’y aurait pas, alo