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ut. Le dualisme des cathares se résout donc en un
véritable
monisme eschatologique, tandis que l’orthodoxie chrétienne, décrétant
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t des poèmes d’amour, comme on le répète, mais de
véritables
romans. C’est qu’à la différence des poèmes provençaux, ils s’attache
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ourriciers, à l’égard desquels ils contractent de
véritables
liens de parenté, attestés par le fait qu’un certain nombre de person
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ne et naturel. Voici, me semble-t-il, le principe
véritable
de l’opposition des deux mystiques. L’orthodoxe aboutit au « mariage
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version de l’espérance qui trouve enfin son objet
véritable
: Or lève-toi vers un espoir plus heureux en contemplant le ciel qui
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ait sans cesse davantage — car c’est là notre gré
véritable
. » Les deux derniers mots : « … et l’éteindre » étant pur artifice de
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ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un
véritable
chevalier. Tristan, mélancolique et courageux, n’abdique au contraire
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la connaissance que Rousseau avait de Pétrarque,
véritable
inventeur du sentiment de la nature et du lyrisme de la solitude.) Av
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à nos cœurs que, quand on a une fois abandonné la
véritable
, on s’en fait ensuite une à sa mode, et l’on y tient plus fortement p
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oint d’aube mystique à l’horizon spirituel, ni de
véritable
joie d’amour au sommet de ces élancements. Le moi n’est jamais transc
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’un appelle l’autre, et chacun d’eux n’a pour fin
véritable
et pour terminaison réelle que l’autre, qu’il voulait détruire ! À l’
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anaché caracolant parmi les troupes ennemies — en
véritable
héros de l’Astrée qu’il fut. Et cette suprême politesse devant la mor
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oules que dans un fanatisme animateur et dans une
véritable
hystérie qui les emballait follement. (Mein Kampf.) Oui, « de tous t
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nt de vue des vrais cathares, nous l’avons vu, la
véritable
faute, c’est d’avoir « consommé » dans la chair cet adultère. 190. L
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e vois pas de raison qui tienne contre la passion
véritable
, il m’apparaît en second lieu que la raison n’est guère plus efficace
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. Tristan lui aussi fut fidèle ! Et toute passion
véritable
est fidèle. (Pour ne rien dire des successives fidélités de nos « lia
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ns une revue spécialisée, sans toucher à ma thèse
véritable
, laquelle demeure : que troubadours et cathares ne peuvent être compr
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e trésors charmants ? » (Vita.) — le doute sur la
véritable
identité ou essence de la Dame : « Est-elle Dieu ou créature humaine
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conception de l’amour, seul sujet de ce livre, et
véritable
objet de ma dispute avec les érudits. Car ce qui nous sépare en fin d
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il choisit de faire d’Iseut l’épouse de Marc, son
véritable
« père » coutumier. Du même coup, il culpabilise son amour, pourtant