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des goûts moyens en France — par la volonté de l’
État
(Hitler, Goebbels et Rosenberg). Il peut donc être intéressant de se
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e à la vie politique, plus passive vis-à-vis de l’
État
, plus lâche devant le fait accompli — et toujours accompli par d’autr
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e sens du groupe qu’elle avait, mais le sens de l’
État
, qu’elle n’a pas. Le sens de l’unité allemande, de la prépondérance d
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ières conditions, qui sont le sens vulgarisé de l’
État
et le sens du service social. Staline proclame une religion du travai
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jamais été une nation ; Hitler une religion de l’
État
, et les Allemands l’apprennent péniblement, avec un pédantisme pathét
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l’initiative qu’on exige, c’est celle qui sert l’
État
et qui est prévue par lui ; c’est celle que la tactique moderne exige
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ure d’entendre, mais non pas de comprendre ; où l’
État
devient le seul représentant du bien commun, mais ne se manifeste plu
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est la structure du régime. Or, la structure de l’
État
totalitaire — quelle que soit sa doctrine — c’est l’état de guerre. T
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les individus. Or la Nation, pratiquement c’est l’
État
. Et cet État est né de la guerre ; il y prépare du simple fait que se
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. Or la Nation, pratiquement c’est l’État. Et cet
État
est né de la guerre ; il y prépare du simple fait que ses conditions
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r » la guerre : car toute guerre engagée avec les
États
totalitaires est une guerre perdue, quelle que soit son issue, pour l
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nous imposerait l’Allemagne, ne peut sortir qu’un
État
totalitaire. Il s’agit donc d’empêcher cette guerre, de se montrer as
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fatalement triompher. Et en s’armant autant que l’
État
totalitaire, l’État démocratique perdrait ses meilleures forces moral
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. Et en s’armant autant que l’État totalitaire, l’
État
démocratique perdrait ses meilleures forces morales ; sa « mystique »
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e ; même goût des fêtes symboliques données par l’
État
dans l’intention — avouée par le conventionnel Cloots — de discipline