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si le plus atomique. Parmi les sous-secrétaires d’
État
, les diplomates et les virtuoses, j’ai trouvé deux ou trois prix Nobe
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ques nuances près, le plan des Nations unies. Vos
États
n’ont fait un pays qu’en unissant leurs peuples et non leurs chefs, q
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ément celle qui fut prise en premier lieu par les
États
fascistes, aussi bien que par les Soviets et par les socialistes angl
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nnées par qui ? Sommes-nous voués à l’esclavage d’
État
par nécessité matérielle ? Vous m’en voudrez de poser ces questions,
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tels, aussitôt nous cesserons d’être libres. Et l’
État
aura tous les droits, puisque nous lui laisserons tous les devoirs. C
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rit libre. » De qui tient-il sa liberté ? Ni de l’
État
, ni de la révolution, ni des Soviets, ni de la démocratie, et surtout
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mot, c’est qu’elles tendent à se confondre avec l’
État
, et c’est la volonté qu’ont les États-nations ainsi formés, de se ren
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’ils redoutent ou souhaitent cette éventualité. L’
État
détruit nécessairement l’originalité d’une nation, lorsqu’il prétend
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alistes ou capitalistes. Ce modèle est celui de l’
État
totalitaire, qui est l’état de guerre en permanence. Ainsi l’ennemi
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permanence. Ainsi l’ennemi des nations, c’est l’
État
; et leur sauvegarde serait le gouvernement mondial. Ceux qui pensent
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s le sens de nation, le mot nation dans le sens d’
État
, le mot État dans le sens de souverain, dont ils font finalement un d
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nation, le mot nation dans le sens d’État, le mot
État
dans le sens de souverain, dont ils font finalement un dieu, créant d
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dans le cadre national conduit nécessairement à l’
État
totalitaire, donc à l’état de guerre larvé ou déclaré, qui est le pir
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lles seraient élues, l’une formée de délégués des
États
, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il fau
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les ministères suivants : Bombe et Répression des
États
, Échange des matières premières, Sens général des recherches scientif