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ne fois la paix revenue. Ainsi, le mécanisme de l’
État-nation
non seulement conduit à la guerre, mais trouve en elle les conditions
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on, passant des personnes aux nations. ⁂ Mais cet
État-nation
, une fois doué de toute la personnalité dont il tend à priver les hom
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souveraineté absolue et l’ordre européen, entre l’
État-nation
et la liberté, entre la religion nationale et la foi chrétienne, entr
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et diverse, et cela suppose briser le carcan de l’
État-nation
, recréer des pouvoirs locaux, dévaloriser les frontières ; ou bien il
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nt à la fois anxieux et agressif que représente l’
État-nation
. Nulle part, l’État ne trahit mieux que dans ce domaine son mépris fo
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ns démoralisantes du vol à main armée. ⁂ Enfin, l’
État-nation
, ayant renoncé au cujus regio, ejus religio, non par esprit œcuméniqu
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lus grande rigueur ? La volonté fondamentale de l’
État-nation
: imposer les mêmes frontières au patriotisme, à l’administration, à