1
t donc être conçue selon le modèle archaïque d’un
État-nation
. Les questions de bornes et de passeports n’ont plus de quoi l’intére
2
e ne diffère, il deviendrait mon juge ! » pense l’
État-nation
né de la Révolution et qui se sait illégitime dans sa prétention à ré
3
u nom de tous contre une partie du peuple. Mais l’
État-nation
exige davantage que l’obéissance passive des opposants. À la faveur d
4
ne fois la paix revenue. Ainsi, le mécanisme de l’
État-nation
non seulement conduit à la guerre, mais trouve en elle les conditions
5
Liberté, ou le grand paradoxe de 1848 Mais cet
État-nation
, une fois doué de toute la personnalité dont il tend à priver les hom