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et bien au-delà de la nation. » La critique de l’
État-nation
— ou l’étatisation manu militari des coutumes et des idéaux d’une com
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us nos peuples. Ils sont unanimes à montrer que l’
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qui règne seul, depuis un siècle, sur la science de ses professeurs e
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réalités du monde actuel. Un modèle périmé L’
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qui se dit souverain absolu est manifestement trop petit pour jouer u
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continentale — et là seulement ? D’autre part, l’
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de type centralisé, imposant les mêmes limites territoriales à des ré
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civique digne du nom, une participation réelle. L’
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trop petit appelle la fédération ; trop grand, il appelle les régions
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cette union, que constituent les prétentions de l’
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à une souveraineté sans limites, qui ne peut plus rien animer si elle