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rès » industriel, du « développement ». De même l’
État-nation
est né de la volonté d’uniformiser les humains, d’écraser leurs diffé
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ole primaire est l’instrument par excellence de l’
État-nation
centralisé. Pour l’école primaire, l’esprit de l’enfant est une tabul
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Mais l’obstacle est le même dans les deux cas : l’
État-nation
. Exemple : quand la CEE propose un plan européen de lutte contre la p
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ques régionales niées, refusées, minimisées par l’
État-nation
qui a peur qu’elles le divisent, il y a des exigences écologiques con
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es, également niées, refusées ou minimisées par l’
État-nation
qui a peur qu’elles le dépassent. Le Rhin amène à la mer du Nord 60 m
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u pillage des ressources non renouvelables. Tout
État-nation
, par nature, s’oppose identiquement à ce qui le dépasse tant par en h
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nées 1930 de ce siècle par les personnalistes à l’
État-nation
: il est à la fois trop petit (à l’échelle mondiale) et trop grand (à
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’État, — d’animateur, d’arbitre, de protecteur. L’
État-nation
est donc l’obstacle commun aux solutions écologiques et régionales. D
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développer des écosystèmes viables, de dépasser l’
État-nation
, c’est-à-dire d’instituer d’un même mouvement en interaction permanen