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ts complémentaires, j’entends le dépassement de l’
État-nation
à la fois par en haut et par en bas, d’une part, vers des fédérations
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me de ce double mouvement contradictoire, c’est l’
État-nation
, tel qu’il est né de la Révolution et du Premier Empire, produit de l
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é par les dynamismes contraires du xxe siècle, l’
État-nation
européen nous apparaît, tel que les accidents de l’Histoire nous l’on
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ins contraignantes. Au surplus je ne vois guère d’
État-nation
de type unitaire que ce double mouvement de convergence mondiale et d
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er les frontières… À tous les coups, c’est donc l’
État-nation
qui perd. Il ne correspond plus ni aux conditions de liberté et de pa