1
ner tort en changeant de cap. Votre critique de l’
État-nation
porte-t-elle aussi sur la Suisse ? C’est une question à laquelle je s
2
le de tous les États-nations. Nous entendions par
État-nation
la mainmise d’un appareil étatique sur l’ensemble d’une nation, l’Éta
3
e fonctionnement du fédéralisme. La critique de l’
État-nation
ne s’adresse donc pas à la Suisse, elle indique simplement à la Suiss
4
lle ne devrait pas se développer. Des tendances «
État-nation
» peuvent se révéler dans certains secteurs de la vie du pays : le nu
5
voisins, se présente finalement lui-même comme un
État-nation
. Or, le fédéralisme est impossible dans un seul pays ! Si on veut sau
6
tous les autres), vers la réalité écrasante de l’
État-nation
, qui résume à peu près tout ce que je dénonce : la dépersonnalisation