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ant à présenter dans tous les domaines non plus l’
État-nation
isolé, mais l’Europe entière comme seule « unité intelligible de rech
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États s’avère désormais extrêmement limité. Si l’
État-nation
reste une réalité aussi solide dans les esprits, c’est qu’il a créé l
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ension, qui est le problème clé du fédéralisme. L’
État-nation
se montre à la fois trop grand et trop petit. Il est trop grand pour
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d’économies. La région ne se définit pas, comme l’
État-nation
, par ses limites, qui l’isolent mais par sa force de rayonnement et p
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vous le transfert progressif des compétences de l’
État-nation
à la région, et de celle-ci à l’Europe ? Si les régions doivent s’ins
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maintenir une double appartenance du citoyen à l’
État-nation
et à elles-mêmes au cas où elles seraient multinationales. R. — Les
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r préparer la géographie de la nouvelle Europe. L’
État-nation
disparaîtra donc, de lui-même, au terme du processus de régionalisati