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ue part dans le Proche-Orient », et une autre des
États-Unis
. La première me dit : « Le petit nuage n’est pas passé. Il passera, e
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de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux
États-Unis
: M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)af J’ai tenté de r
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de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux
États-Unis
: M. Denis de Rougemont nous dit… », Curieux, Neuchâtel, n° 34, 23 ao
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u Gothard”. Non, M. Denis de Rougemont s’en va en
Amérique
parce qu’il vient d’être chargé par la fondation “Pro Helvetia” d’une
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en de moins suisse que notre Parlement, importé d’
Amérique
à une époque récente, et plus ou moins contaminé par les mœurs politi
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ouvelle de son envoi en mission de trois mois aux
États-Unis
, afin d’y prendre contact avec les milieux suisses établis là-bas, il
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nés par-dessus les Alpes, — j’évoque le dynamisme
américain
des Zurichois, la vieille culture patinée des Bâlois, la Suisse centr